Il ne s'agit pas d'une critique mais bien d'une analyse de revue de presse rédigée dans le cadre d'un dossier de théorie en avril 2021


Mother! est un thriller horrifique américain, réalisé par Darren Aronofsky et originellement sorti le 13 septembre 2017 en France. Basé sur un scénario original écrit par Aronofsky, il met en scène la relation d'un couple (interprété par Jennifer Lawrence et Javier Bardem) mise en péril lorsque l'arrivée d'invités inattendus (comprenant entre autres Michelle Pfeiffer et Ed Harris) vient perturber leur quotidien. Ce film est marqué par un rythme et plusieurs ententes scénaristiques souvent jugées déroutantes.
Le film, présenté à la Mostra de Venise quelques jours avant sa sortie internationale, a extrêmement divisé la critique, autant de la part de la presse (recevant une note moyenne de 2,8/5 sur l’agrégateur francophone Allociné selon l’interprétation de 25 critiques) que du public (variant entre la moyenne de 2,7/5 sur le même site à partir de 5000 avis à ce jour, et celles, plus généreuses, du réseau culturel SensCritique culminant à 6,4/10 à partir de 16 000 avis, et de l’agrégateur anglophone Internet Movie Database culminant à 6,6/10 avec 194 000 avis à ce jour). Le film a été multi-primé à la cérémonie parodique des Razzie Awards, récompensant les films considérés comme les pires de l’année, pour « Pire actrice », « Pire second rôle masculin » et « Pire réalisateur ».


Le corpus est composé de treize critiques : cinq professionnelles (en provenance de la revue féminine Elle, des revues en ligne ÉcranLarge et Critikat dédiées à l’actualité cinématographique et/ou audiovisuelle, et des revues généralistes Le Parisien et Le Nouvel Obs), sept amatrices (en provenance des communautés SensCritique et Allociné), et une vidéo oscillant entre les deux, réalisée par le vidéaste François Theurel et publiée sur sa chaîne YouTube Le Fossoyeur de films.
Ainsi, à la lecture de ces différentes rédactions, nous pouvons nous interroger sur ce que le double-propos sous-jacent de Mother! a suscité auprès des spectateurs. Nous étudierons dans un premier temps les répercutions à l’évocation de l’acte de création portée par le film, avant de nous intéresser dans un second temps aux réactions à l’allégorie religieuse diffuse.


Nous pouvons dire que la parabole du film Mother!, au sujet de l’acte de création, a vivement divisé la critique. D’abord, à partir des critiques du corpus, nous remarquons l’instigation plurielle de l’évocation de la création. Le film a effectivement plu à de nombreux spectateurs pour sa pluralité de tons, mais aussi dérouté d’autres.
À ce sujet, l’hebdomadaire Elle écrit :



Comme dans ses précédents longs métrages, Darren Aronofsky s’amuse à jouer, entre réalité et fantasme, et on ne sait pas si ce que l’on voit est vrai. Le spectateur est perdu. D’autant qu’il n’y a pas de musique pour accompagner les scènes et lui montrer la direction. On ne peut donc que suivre le personnage de Jennifer Lawrence, elle-même complétement désemparée... Plus encore, l’escalade de la violence humaine sous toutes ses formes, physique, verbale etc. se fait de plus en plus forte, enragée, douloureuse même. Âmes sensibles s’abstenir, car certaines scènes feront crisser des dents.



La rédactrice, en comparant le film aux classiques du cinéaste, démontre que malgré sa complexité, l’ambigüité du film lui est apparue évidente, ainsi que l’osmose entre l’ambiance horrifique et la facette thriller du métrage. Ensuite, nous constatons l’état hégémonique, si ce n’est négocié, de nombreux spectateurs en faveur de la force symbolique des personnages.
Effectivement, notamment, Le Parisien écrit :



Dans cette allégorie, il fallait un point de stabilité pour le spectateur qui perd tous ses repères. C'est le travail de Jennifer Lawrence, impériale, constamment poursuivie par la caméra. Sans elle, Mother! perdrait de son impact.



Penchant davantage vers une lecture négociée du film (selon le concept émis par le sociologue britannique Stuart Hall des trois positions de décryptage du spectateur face à l’œuvre), le quotidien salue la performance de l’actrice comme vecteur principal de l’essence du film.
Côté critiques amatrices, l’internaute SensCritique Neo Cosmic M a rédigé:



Sans […] second degré de lecture, le film possède une histoire qui se révèle intéressante d'un point de vue des personnages et bien raconté. La grosse faiblesse est que si on le prend au premier degré de lecture, on trouvera le comportement des personnages […] incohérent et on trouvera […] des scènes qui sont bien trop longues pour ce qu'elles veulent raconter ou que la particularité de la maison parait anecdotique par rapport à l'histoire. Ce n'est que vers la fin où tout ce qui parait étrange devient plus clair. De plus l'histoire couplée à la réalisation est extrêmement puissante et ne laissera personne indifférent, au point où il faut s'accrocher et surtout accepter ce genre d'histoire. […]



Il souligne qu’une lecture premier degré du film faillit à son appréciation, et que l’acquisition d’un degré second demeure nécessaire.
De même, l’internaute MovieBuff écrit :



[La] violence est justifiée par la volonté de critiquer les maux de notre société. Elle est corroborée par une atmosphère bizarre, dégueulasse et oppressante […], une ambiance qui à la fin devient complètement folle, hystérique même ; le film passe de thriller psychologique à film d'horreur fous.



Soulignant non seulement la pluralité réussie de registres, mais aussi ses bénéfices sur l’ambiance véhiculée par le long-métrage.
Concernant la vidéo réalisée par le Fossoyeur de films, ce dernier a trouvé que la qualité de l’allégorie se confirmait par



Une [folle] seconde partie, extrémiste, plus appuyée.



Puis, dans une partie un peu plus nuancée de cette même critique, le vidéaste évoque:



Une lecture psychologique [sur la] dépossession [et] la création qui tient la route, mais sur le plan, un poil moins.



Le commentaire témoigne d’un message clair mais plutôt mal amené par le film. Enfin, nous remarquons l’état (plus ou moins) oppositionnel d’autres spectateurs, captant une lecture du sujet au détriment du développement des personnages.
En effet, la revue en ligne ÉcranLarge rédige:



Alors que le réalisateur surmultiplie les visions tantôt grotesques, dérangeantes, superbes ou tout simplement puissantes, on en oublie progressivement les nombreux impairs, le côté petit malin démonstratif dont il ne s’est jamais départi pour apprécier la richesse de la vision qui déchire l’écran.



Distinguant le manque d’homogénéité des effets de mise en scène, la rédaction n’hésite néanmoins pas, par la suite, à faire le parallèle avec l’un des triomphes critiques du cinéaste, Black Swan (2010). Le côté « petit malin », « chaotique » des deux films demeureraient identique.
Puis, selon Critikat :



[…] Aronofsky cite […] Rosemary’s Baby et colle sa caméra aux basques de Jennifer Lawrence […] dans un rôle finalement plutôt ingrat qui fait d’elle la spectatrice […] du show grotesque que son réalisateur-compagnon-démiurge lui a offert sur un plateau. Cela tombe bien, c’est précisément l’un des sujets du film : comment la compagne d’un artiste de génie (Javier Bardem, en roue libre) peut-elle exister face à la mégalomanie de l’homme qu’elle aime ? Réponse : en tenant bien sa maison. C’est, peu ou prou, le postulat de départ de Mother!



La revue en ligne, comme à l’accoutumée peu tendre avec le film, se positionne totalement oppositionnelle par rapport à celui-ci, en y décodant un sous-texte jugé conservateur, doublé d’une comparaison à un film de Roman Polanski, qui sera plus tard qualifié de « discours ultra-réac’ ». Un peu plus loin, la revue dénonce la simplicité et l’absurdité de la morale du film :



Pour faire bonne mesure, Aronofsky nous rappelle que tout cela est la cause des pires conflits dans le monde, et que donc la guerre c’est mal et qu’elle fait beaucoup de victimes.



La critique de l’internaute MovieBuff, quoique dans l’ensemble enthousiaste, écrit de même :



Mother! est certes intelligent mais en terme de récit […] maladroit, [parlant] de choses intéressantes mais de beaucoup de choses différentes [telles que] religion, famille, maternité, art, sexualité, amour intergénérationnel […] [partant] en effet parfois dans tous les sens, [et dont le] jonglage entre les thèmes laisse à désirer.



Jugeant le film étouffant par la pluralité maladroite de ses thèmes, le rédacteur poursuit en formulant que malgré le charme que lui attribut Jennifer Lawrence, le personnage incarné par cette dernière manque sérieusement de développement.
Finalement, la critique de l’internaute Moizi, jugeant violemment le film, dit de même que:



Jamais le film ne laisse d'espace à ses personnages pour exister, pour avoir une psychologie […], c’est juste pénible tant le personnage de Lawrence n'a aucune réaction logique, comment elle est toujours dans l'hystérie. Surtout qu'elle a plein d'hallucination, c'est juste lourdingue.



Ces différents échos soulèvent ainsi l’état d’une démarche qui laisserait peu de place aux sentiments et à l’évolution des personnages.


Nous pouvons démontrer que la réception de Mother ! est extrêmement marquée par les différents degrés d’appréciation du public au sujet de la double entente religieuse.


D’abord, de nouveau à partir des critiques du corpus, nous remarquons que cette interprétation altère complètement les attentes d’un certain public, notamment chez les spectateurs les plus assidus du cinéma d’Aronofsky. L’internaute Allociné lhomme-grenouille a en effet écrit :



En sortant de ce film, j’avais tellement pris mon pied que j’étais parti pour écrire une bonne critique [notée] 5 étoiles [mais] j’ai eu le malheur d’ouvrir cette foutue page Youtube qui me suggérait d’aller voir le vlog de Durendal sur le sujet… Et là […] force fut de constater que j’avais vu dans Mother! le film que j’avais voulu voir plutôt que le film qu’Aronofsky avait voulu faire. […] La thématique centrale de ce film n’était pas l’aliénation comme avait voulu le croire le gros adorateur de Black Swan que je suis […]. Non, la thématique centrale c’était bien ce bon vieux mythe biblique […]



On remarque qu’à partir de l’interprétation du vidéaste Durendal, ce spectateur a réalisé qu’il s’était fourvoyé dans le sens exact du film, et a remis en question son avis en admettant qu’il ne s’agissait finalement que d’une revisite biblique plus ordinaire que le résultat escompté. Pour autant, l’interprétation originelle du film par le dénommé lhomme-grenouille témoigne du rôle que joue le public dans la conception d’un film ; son interprétation est en effet complémentaire, puisqu’elle témoigne de ce que le public veut voir au sein du film. Ce dernier parvient donc entièrement à laisser au public libre court à son imagination et à se concevoir une interprétation personnelle. Justement, c’est ce que le théoricien américain Stanley Fish conçoit au sein de son essai Quand lire c'est faire, portant sur ce qui lie l’œuvre à son consommateur.
Ensuite, nous constatons l’état hégémonique, si ce n’est négocié, de nombreux spectateurs en faveur de cette allégorie biblique.
Jugeant le sous-texte évident mais efficace, Elle répond :



Le cauchemar de Jennifer Lawrence pointe clairement du doigt la douleur de Mère Nature après les ravages de l’humanité...



ÉcranLarge écrit alors :



Avec une hargne jamais atteinte précédemment, le cinéaste crée un réseau d’interprétations et de métaphores, toutes possibles, toutes envisageables, qu’il laissera au spectateur le soin de démêler, préférant se concentrer sur l’impact immédiat généré par les visions qu’il convoque. Son héroïne est-elle une ambassadrice des femmes, phagocytées et parasitées par des désirs masculins conquérants ? Une allégorie de la nature, que l’humain tente par tous les moyens de subvertir et de dominer, ou un emblème de la créativité, de ses détours et violents soubresauts ?



La revue expose les différents degrés d’interprétation envisageables, en les validant et en ajoutant au passage une interprétation féministe.
Puis, au même titre que Elle, l’internaute SensCritique MovieBuff salue l’originalité évidente de la mise en scène, ayant le mérite de faire un lien avec l’actualité géopolitique :



Une allégorie biblique intelligente pour critiquer les maux du monde […] en me basant sur le peu de choses que j'ai appris lors de mes analyses littéraires lorsque j'étais lycéen, je pense avoir compris l'allégorie ; car oui, Mother! est une allégorie biblique.



Concernant l’internaute Chuck Carrey, s’il n’apprécie pas forcément ce sous-texte, salue l’originalité de sa mise en scène :



Après quelques recherches en quête de sens et d'interprétation, une théorie se démarque des autres : celle sur l'allégorie religieuse et écologique. […] Le film n'est alors plus un simple délire d'un réalisateur en manque d'inspiration, mais un film qui fait sens et qui marque par sa forme et particulièrement l'originalité de cette forme pour faire passer le message. Car le message en lui-même n'est pas nouveau mais la façon dont il est passé, elle, l'est. Et ça fait plaisir de voir un réalisateur qui essaye d'apporter un peu d'originalité, même si ça semble n'avoir aucun sens dans un premier temps.



De même avec lhomme-grenouille, soulignant l’audace du projet :



OK, je n’aime pas ce que dit Aronofsky dans ce film-là. Je n’aime pas le regard qu’il porte sur l’Humain via ce film là… Mais que j’aime sa façon de nous le transmettre ! Que j’aime son langage qui passe par les viscères !



Également, Le Fossoyeur de films introduit le sujet en évoquant de façon plutôt élogieuse:



Une [rare] proposition de cinéma.



Enfin, nous remarquons l’état - plus ou moins - oppositionnel d’autres spectateurs, captant une parabole au détriment de la compréhension et / ou de l’appréciation du film. Entre deux, le Fossoyeur de films, une nouvelle fois, distingue:



Trop de degrés de lecture, ce qui désert le film, [accompagné] d’une lecture biblique [peu] fiable, [qui ne va pas assez loin], trop ambigüe, simpliste et pas assez radicale dans son propos.



La rédaction du Nouvel Obs va quant à elle décrire l’aspect chaotique du film en ces termes:



Fin du premier round, magistral, inquiétant, névrotique […]. Puis arrive la deuxième vague de visiteurs, des hordes de fans de l’écrivain qui, enfin, pond un chef-d’œuvre : dans leur délire, les bigots ravagent tout, attendent la venue du bébé […]. Et là, je vous raconte pas : on est entre la zombie party et le cauchemar psychédélique, avec méga-explosion ultime. Tout y passe : le christianisme est une religion cannibale, la roue du destin védique recycle la vie, Dieu est absent, l’existence est un reboot perpétuel […]



Moins délicat encore, Critikat démontre en :



Mother! […] un simulacre de cinéma, qui confond mystère et illisibilité, démesure et boursouflure, provocation et grand-guignol […]Le mystère qui enveloppe le récit n’est pas destiné à être dissous dans un twist final ou une explication rationnelle, les événements du film alignant les références bibliques compilées en une débauche de clins d’œil grossiers. Mother! se veut être une allégorie, mais une allégorie de quoi, exactement ? […]



La revue expose ainsi son état totalement oppositionnel à la mise en scène du film d’Aronofsky. Puis, l’internaute Tonto rédige :



Dans Mother!, [Darren Aronofsky] fait n’importe quoi, et mon estime pour ce réalisateur m'empêche de penser qu’il n’en était pas conscient. Il s’acharne donc ici à relire la Bible pour une raison que j'avoue humblement n’avoir pas trop compris, d'autant moins qu'il le fait d'une manière si intelligible qu'elle ferait passer la […] série The Leftovers pour un sommet de rationalisme cartésien. Nous proposer une relecture de la Bible, pourquoi pas ? Mais encore faut-il qu’il y ait un message derrière. Or, de message, il est très difficile d’en trouver un dans Mother! qui, malheureusement, semble plus lorgner du côté d’un 2001, l’odyssée de l’espace et de son exaspérant jus de crâne que de la profondeur et de la justesse de la Bible.



Il trouve ainsi que le sous-texte métaphysique n’est qu’un prétexte pour cacher l’absence de lisibilité au message émis par le film. Ensuite, Moizi se moque ouvertement des figures de style élaborées par le film, dont la métaphore du couple Bardem / Lawrence à Adam et Ève que le rédacteur juge prévisible et formatée:



Si deux frères se disputent, forcément c'est Abel et Caïn, il suffit de dérouler tout le reste et on a toute une métaphore filée bien lourdingue sur la religion.



Finalement, la critique amatrice Allociné signée Emmanuel P demeure représentative de la position oppositionnelle du grand public vis-à-vis du film d’Aronofsky:



La première partie est pas trop mal mais [à] la fin ça part dans le grand n'importe quoi et c'est totalement invraisemblable : pourquoi quand la maison explose Javier Bardem ne meurt-il pas ? Qu’est-ce que cette pierre précieuse sortie du cœur de Jennifer Lawrence ?



Le message n’est pas du tout passé auprès de ce spectateur.


Ainsi, le film de Darren Aronofsky suggère une double-entente peuplée de sous-entendus ayant scindé la presse et le public en deux. Si la lecture critique du long-métrage a suscité de vives réactions en raison de l’étendue des sujets traités, sa lecture religieuse a à la fois éveillé l’attention des spectateurs impressionnés par la parabole et la déception, voire la colère des spectateurs qui la jugent maladroite et trop obscure à décrypter. Dans tous les cas, c’est le témoignage de la polymorphie et de l’attrait pour cette création.

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le 2 nov. 2021

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