[…] Trop concentré sur les courbes des ses voitures, et pas forcément à tort, Soi Cheang oublie malheureusement de traiter avec la même sensibilité ses personnages. On se retrouve ainsi avec un film à double teinte, dont les défauts plombent considérablement ses prouesses et idées mémorables.
noirjouvence
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le 16 sept. 2012

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