C'était les débuts de Steven Seagal : ce n'était pas génial, mais c'était moins pire. En effet, tout ceci a beau être assez banal et peu mémorable, Andrew Davis fait correctement le boulot derrière la caméra et Steven, souffrant déjà d'une certaine paralysie faciale, était au moins capable de se battre correctement. C'est à peu près tout, mais personnellement cela a suffi pour me faire passer un petit moment pas désagréable, avec en prime un petit discours pas franchement pro-CIA plutôt inattendu. Dispensable, mais regardable.