Wrong Faces
J'ai cherché un titre pour ce paragraphe pendant un bon une minute et puis j'me suis dit que "pourquoi ?", c't'une question légitime non ? C'était un soir comme les autres, j'étais fatigué, le...
Par
le 10 avr. 2017
33 j'aime
2
Critiques
J'ai cherché un titre pour ce paragraphe pendant un bon une minute et puis j'me suis dit que "pourquoi ?", c't'une question légitime non ? C'était un soir comme les autres, j'étais fatigué, le...
Par
le 10 avr. 2017
33 j'aime
2
Une image et un casting déjantés certes, quoi qu'il est facile de cacher la simplicité d'un contenu grâce à sa présentation. C'est un peu le problème de Pieles, le film se veut décalé et novateur,...
le 24 juil. 2017
6 j'aime
Pieles produit par Alex de la Iglesia est le tout premier long métrage de Eduardo Casanova. A travers une galerie improbables de freaks comme autant de portraits encadrés dans des moulures roses...
Par
le 11 févr. 2020
4 j'aime
La recherche à l'arrache d'un film pour combler une soirée qui débute est toujours complexe et souvent l'occasion de perdre un maximum de temps devant les catalogues de différentes plateformes de...
Par
le 27 sept. 2021
3 j'aime
J'aime bien les films un peu déjantés, en marge des courants habituels. Avec 'Pieles', j'ai été servi ! Une vision très personnelle, une photo hyper léchée, un parti pris de couleur, un casting...
Par
le 10 mai 2017
3 j'aime
J'avais vu un court-métrage de ce réalisateur, celui avec miss Trou-de-balle qui va au resto de miss SSBBW. C'était sympa, y avait pas volonté moralisatrice, juste une mise en bouche sur un univers...
Par
le 31 déc. 2017
2 j'aime
Ouaw! Un freak show des temps modernes. La magie du film nous guide de la rigolade au malaise empathique d'une force brute. Le réalisateur poétise l'infâme et la difformité sans rien cacher. A cela...
le 15 sept. 2017
2 j'aime
Cette analyse de Pieles (2017) réalisé par Eduardo Casanova ira de pair avec le troisième et dernier volet de la trilogie de M. Night Shyamalan, Glass. Le réalisateur Eduardo Casanova présente comme...
le 6 avr. 2019
1 j'aime
Dès les premiers instants, nous voilà transporter dans un monde à priori surréaliste.
Par
le 30 mai 2018
1 j'aime