Si on voudrait définir Point Break en un mot on aurait du mal.
Point Break c'est à la fois une course poursuite contre des malfrats,mais aussi c'est le film où le surf est une religion pour ces mêmes malfrats.
Keanu Reeves (fabuleux) est agent du FBI et il est doit traquer des voleurs de banques qui sont déguisés en ex président américain,son coéquipier joué par Gary Busey (très bon) pense que ces voleurs sont une bande de surfeur. Alors Keanu Reeves va devoir apprendre à faire du surf,avec une monitrice joué par Lori Petty (superbe). Mais Keanu Reeves va croiser Bodhi Salver incarné par Patrick Swayze,(qui trouve ici le rôle de sa vie)et ils vont se lier d'amitié. Mais au fil de l'enquête Keanu Reeves va se rendre conte que Bodhi Salver est le chef des ex présidents,alors il va pourchasser son ami,qui devient son ennemi durant sa fonction.
Bref Point Break est un concentré d'action,et d'adrénaline.
La fin du film est magnifique,à noter que James Cameron reprendra la phrase"Je suis le roi du monde dans TITANIC",c'est un clin d’œil à la réalisatrice du film Kathryn Bigelow qui était son ex femme.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes films préférés de 1991, Mes meilleurs films de gangsters, Mes meilleurs films d'action et Mon top 10 film des années 90
Créée
le 24 sept. 2022
Critique lue 33 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Point Break - Extrême limite
Pas aidé par un héritage génétique quelque peu déficient - tiens je donne la parole à ces cons ! Qu'en disent - l'étrange fatras de - mes gènes justement ? "Nous sommes tous contre toi sur ce coup...
Par
le 24 mai 2013
76 j'aime
16
Le culte tient finalement à bien peu de choses, quand on y pense : des belles gueules, une époque, la mode qui va avec, et on vous emballe un petit polar un peu mal fagoté sous les oripeaux d’une...
le 1 avr. 2016
62 j'aime
5
Point Break et moi, c’est une sacrée histoire. Depuis que j’ai découvert le degré de sévérité sur SC dans les notes, étant habitué pendant des années à Allociné, j’ai changé de posture vis-à-vis de...
Par
le 30 juin 2017
53 j'aime
28
Du même critique
Nous voici plongé dans la tête de Daniel Johnston, ou plutôt dans la tête de Daniel Johnston et du diable. Johnston chanteur de lo-fi (un des fondateurs) est bipolaire. Et cela entraine chez lui des...
Par
le 17 sept. 2022
5 j'aime
Les 10 premières minutes du film commencent un chef d’œuvre, on est dans une prison, au trou, l'univers est poisseux, mais en parallèle porté par une musique que l'on pourrait qualifié de...
Par
le 26 févr. 2021
3 j'aime
Ce film date de 1936, et pourtant quand on le regarde aujourd'hui, il est frappant de dire que son propos et toujours d'actualité, et que les choses n'ont malheureusement pas changé. C'est bien le...
Par
le 21 mars 2020
3 j'aime
3
