Curiosité fantastique manifestement réalisé dans la foulée de « Rosemary's Baby », « Satan, mon amour » a beau être parfois approximatif et un peu bancal, il s'en dégage toutefois un charme étrange, que ce soit à travers un style visuel typiquement 70's parfois séduisant qu'un scénario doté de quelques inspirations, à l'image d'un dénouement légèrement attendu mais néanmoins appréciable.
Au final, le résultat apparaît assez anecdotique, mais si l'on est sensible aux histoires de possession et de satanisme, avec en prime la musique de Franz Liszt et la jolie Jacqueline Bisset en héroïne combative, le résultat peut valoir le coup d'œil.