Ozon, moi j’aime beaucoup au début (parce qu’il y a une patte) et puis je lâche toujours le fil au fur et à mesure que l’histoire s’égraine. Ce film ne fait pas exception. Personnellement, je ne comprends pas ce goût pour l’enlisement dans cette sorte de mélancolie et durant lequel le personnage principal tourne en rond… Sûrement est-ce un état d’esprit qu’aime Ozon, mais moi je ne vois pas pourquoi on devrait stopper toute progression juste pour ça. Je sais que c’est un choix, mais pour moi c’est une sorte de facilité, pour ne pas dire de la fainéantise.