La Revanche des Machines Métamorphosées
Terminator 2, le film qui prouve que James Cameron n'est pas simplement un réalisateur, mais un génie capable de transformer des millions de dollars en spectacle orgasmique. C'est comme s'il avait dit : "Tant qu'à faire, autant en mettre plein la tronche." Après tout, pourquoi se contenter d'une guerre des étoiles quand on peut avoir une guerre contre des robots qui, au lieu de danser, déchirent tout sur leur passage ?
Morphing, Moulage, et Monstrueux
Avec un budget plus gros que la biceps d'Arnold à l'époque, T2 nous explose la rétine avec des effets spéciaux qui tiennent encore aujourd'hui. Le morphing, c'est pas seulement le nom de ce que font les aliens dans Star Trek après une cuite, mais aussi la star des transformations de ce film. Le T-1000, c'est le sosie d'Oscar, mais version liquide et beaucoup plus déterminé à décrocher la statuette.
Du Terminator, de l'émotion, et des bonnes vannes
Cameron a réussi à transformer Schwarzenegger de machine à tuer dénuée de sentiments en nounou Terminator. Le T-800 nous offre le meilleur cours de rattrapage émotionnel depuis que Yoda a consolé Luke. Edward Furlong, le gamin qui joue John Connor, est plus attachant que le Baby Yoda dans The Mandalorian. Sarah Connor devient une icône plus indéboulonnable que le vieux PC dans le coin de ta chambre.
Robert Patrick, le chat des machines
Remplacer Schwarzie par Robert Patrick, c'est un peu comme remplacer le Joker par un chat sournois. Le T-1000, avec sa plastique métallique et ses ruses, fait du Schwarzenegger de T1 le grand-père Terminator. Les machines ont évolué plus vite que l'informatique de ton pote qui ne jure que par son Amiga 500.
Un grand-huit d'action qui fait saigner les yeux
James Cameron nous emmène dans un grand-huit d'action avec des scènes qui déchirent plus que la première édition d'un comics collector. Les explosions font plus de bruit que les disputes entre fans de Marvel et DC sur Internet. Les cascades sont aussi impressionnantes que le nombre de "Hasta la vista, baby" que tu peux sortir en soirée sans te faire détester.
Terminator 2, le chef-d'œuvre qui dézingue la concurrence
Terminator 2, c'est un orgasme visuel qui te laisse sur le cul. Cameron a pris son T-800 émotionnel, a jeté une tonne d'effets spéciaux dessus, a saupoudré le tout de vannes qui font rire plus fort que Chewbacca, et nous a offert une suite qui explose plus de trucs que les jouets de ton petit frère après un match de foot en intérieur. Terminator 2 reste un moment phare, pas seulement dans l'histoire du cinéma, mais aussi dans la vie de tout geek qui se respecte. Si ce film était un jeu vidéo, il serait le boss final que tu veux affronter encore et encore, juste pour le plaisir de voir les effets spéciaux en action. Bref, Terminator 2, c'est la preuve que James Cameron peut transformer n'importe quoi en or, même un exosquelette métallique.
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