En tant que Rwandais, je n'ai rien trouvé d'autre pour faire le malin, capter l'attention, là...
… et tenter de promouvoir ce joyau.
Troisième visionnage (un par décennie en moyenne) : rire égal ; plaisir total.
Dustin Hoffman s'imposait déjà comme le meilleur acteur de tous les temps et Jessica Lange a définitivement la plus belle paire de nib... de ….... Elle est bien jolie.
D'ailleurs Tootsie parle de la femme, de la condition féminine, de l'emprise du mâle, (…), des actrices qui couchent~couchent~couchent [mais à cause de ce mâle, bien sûr, pauvres chéries].
Je laisse cette tartine, très paresseusement, de côté.
Trop copieux : le discours du film + la situation d'alors + celle de 2021 + l'évolution depuis~~ = une thèse post doctorale en fack parisienne, section « Études Queer Quentendre » ; avec quelque demi-tarée à mâchoire carrée pas assumée pour vous « accompagner »...
Tootsie est désemparant tant il est drôle, malin, sensible.
( allez expliquer au quarteron de cuistres / snobs d'SC que le sel de ce film ne vient pas du travestissement... )
Malgré une bande-son abominable --- hier comme aujourd'hui ---, c'est une fête (avec un Sydney Pollack qui, 10 ans après le fabuleux Jeremiah Johnson, reprend un de ses ressorts comiques préférés... )
https://www.youtube.com/watch?v=uOUWQBDbtso
Le néo-humain n'aimera pas, bien entendu : trop de dialogues, trop de subtilité, trop d'élégance, trop d'attente...
[ comment dit-il, déjà, le grogneur sans cœur et sans cervelle ? ... " c chiant" ]
Quand il me restera deux heures avant de crever, c'est le film* que je regarderai.
*
La personne qui a commis le baratin de l'affiche a-t-elle été finalement exécutée ?