Le petit écran encadrera le grand. L'unique reproche pourrait être justement cette approche vulgarisatrice, comme si le but, au final, serait de se targuer d'être "passé à la télé". Nullement. Quelques bouts de fierté restent accrochés à ses trieurs de la matières pestiférés. L'un aura lu un Prince de Machiavel sauvé des boues, l'autre se prendra pour Marat qu'en au troisième il portera un discours digne de Pierre Rabhi. Une plaisanerie sur Playboy, ici aussi, on vit.
Plus qu'un regard enclin d'humanisme sur la dimension sociétale de l'art, il s'agit avant tout de la plus humble réponse à tous les politiciens qui prônent la restriction budgétaire dans le domaine de la culture.
Une leçon de vie à voir absolument!