Trois ans après la grâce de Dear Esther, The Chinese Room revient avec un titre tout aussi énigmatique mais somptueux. Une fois accepté qu'il y a rien d'autres à faire que marcher, à l'instar d'un The vanishing of ethan carter, c'est la claque visuelle et auditive. Dans une vallée du Shropshire, un village britannique et ses alentours vidés des ses habitants, on avance à petit pas dans une intrigue SF qui mêle surnaturel et providence. Le titre en nous plongeant en plus dans multes chroniques intimes des habitants à ceci qui nous touche personnellement.

punkryden
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs jeux vidéo de 2015

Créée

le 2 nov. 2015

Critique lue 167 fois

punkryden

Écrit par

Critique lue 167 fois

D'autres avis sur Everybody's Gone to the Rapture

Everybody's Gone to the Rapture
Psykokilla_V3
7

La tête dans les étoiles.

Dans un premier temps, avant de vous lancer dans "Everybody's gone to the rapture" il est bon de rappeler que l'œuvre du studio "Thechineseroom" est avant tout un récit à peine interactif. Deux...

le 13 août 2015

16 j'aime

4

Du même critique

Superliminal
punkryden
5

My name is dr relou

Mélange navrant de The Stanley Parable et Portal. La narration est atroce, ça parle pour ne rien dire. Il n'y a pas d'humour, on ne casse aucun 4ème mur, le message que le jeu veut faire passer est...

le 17 sept. 2020

12 j'aime

Le Monde sans fin
punkryden
7

Ce que j'ai retenu

L'avenir énergétique de notre civilisation est un sujet sans réponse simple et facile. En plus de constituer la matière première de tout ce qui constitue notre quotidien, le pétrole est la seule...

le 12 janv. 2022

9 j'aime

Le Droit du sol : Journal d'un vertige
punkryden
6

J'ai préféré le site de Greenpeace.

Après Le Monde sans fin (2021) de Jancovici clairement pro-nucléaire, Davodeau, lui défend la thèse inverse. Tel un Rufin, il part en pèlerinage jusqu'à Bure, future site d'enfouissement de déchets...

le 12 janv. 2022

8 j'aime