flOw fait partie de ces jeux aussi courts qu’énigmatiques que j’aime faire entre deux gros jeux. C’est étrange, joli, et même parfois poétique.
Obliger le joueur à contrôler sa bestiole uniquement avec le gyroscope de la manette est totalement déstabilisant et souvent frustrant au début. Ce choix délibéré est là pour reproduire une sorte de maladresse dans les mouvements d’une entité naissante qui s’affinent avec l’apprentissage.
Même si le jeu ne m’a pas marqué plus que ça, il n’en reste pas moins une très bonne porte d’entrée à Flower et Journey qui marquent la grande progression de la qualité des titres du studio.
Terminé le 10 janvier 2016.
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