Louis Ferdinand Sebum, de Canard PC, déclare régulièrement dans les vénérables colonnes où il tient fonction de chroniqueur qu'il s'agit d'un des meilleurs jeux de la décennie. Et je lève mon réservoir à carburant solide droit qui part en cacahuète au décollage à ça.
Plus sérieusement, KSP comme on l'appelle dans le milieu de ceux qui voulaient être astronautes en CE2 et qui ne rêvent maintenant plus que d'un CDI pour manger, est un de ces jeux qui respectent le joueur. Certes, il vous faudra probablement des centaines d'heures de jeu avant de maîtriser son moteur physique exigeant et affronter maintes et maintes essais infructueux avant de poser le pied sur autre chose qu'une des deux lunes de la planète Kerbal. Et encore, bon courage pour arriver jusque là. Mais le jeu en vaut véritablement la chandelle.
Le joueur possède ici une liberté totale dans le rythme auquel il souhaite évoluer, la manière dont il veut monter sa fusée, et dans quel coin de l'espace il veut tomber en panne sèche, en criant *merde putain, pourquoi ça consomme plus que la fois d'avant?!"