une des saga la plus genereuse de l'industrie du Jeu Video.
commencé en 1987 sur MSX/Nes d'un simple postulat d'action/espionnage, en 1997 Metal Gear peut se targuer d'avoir ouvert une enorme breche d'interactivité creative aussi bien in-game que out-game.
un gameplay peu facile d'accés au depart, mais happé au fil des minutes par une comprehesion des mecaniques tres à propos avec un enorme background et un scenario lorgnant vers le fantastique, en ont fait une exprience emotionnellement inoubliable :
tout le monde se souviendra à jamais de l'affrontement traumatisant contre le telepathe PsychoMantis, qui a subjugué par l'intelligence et l'immersion du game system.
(il lisait les memory card et les mouvement de nos pad.. il suffisait de changer le controller de port afin de l'empecher d'user de cette faculté.)
mais ça ne s'arreterait pas à ce cas..
le jeu entier etait truffé de secrets, references ou surprises, changeant même certains point de vu selon la reflexion ou le choix d'action du joueur.
(du louveteau deSniper Wolf qui faisait pipi sur votre carton et vous facilitant l'integration à sa meute, à l'evasion de la prison qui pouvait etre geré grace à une bouteille de ketchup ou en patientant sagement que Grey Fox intervienne.)
une generosité poussant à recommencer le jeu de
nombreuse fois, ne serait ce que pour decouvrir de nouvelle interaction et se faire surprendre par les ingeniosités durement quantifiable.
sachant qu'en plus 2 fins nous recompensait à leur juste valeur, 13 ans apres on comprend encore pourquoi son statut de "culte" n'est clairement pas volé.
et ce ne sont pas non plus les episodes suivants qui feront honte à la serie.
les rares n'ayant pas accroché au scenario, au gameplay intrasigeant (mais juste) ou ayant eu des prejugées infondés, ne sauront jamais ce qu'ils ont loupé.
c'est vraiment dommage pour eux.