Chronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2024/06/20/the-last-campfire/
Extrait :
Petit jeu assez rapide à réaliser puisque, comme vous pouvez le lire, j’ai passé moins de dix heures dessus pour tous les trophées. Dans un sens, The last campfire est assez similaire à Stray, il n’y a rien de bien complexe, à part les énigmes. Pas de combats, pas de tir, pas de violence en soi. C’est un jeu que je conseille donc déjà grandement, surtout qu’il ne me semble pas être cher.
De ce que j’ai pu voir, ce jeu est disponible sur toutes les plateformes, pour ma part, je l’ai terminé sur Steam (PC). Je ne crois pas qu’il soit disponible en format physique. Pour la langue, le texte est en français, mais il me semble, que s’il y a des voix, celles-ci ne sont tous simplement pas compréhensibles, c’est un peu du yaourt. Le jeu nous demandera de retrouver des flammes perdues, de leur redonner l’étincelle, afin qu’elle puisse rejoindre un feu de camp. Certaines pourront donc être sauvées au travers d’un mini-jeu de type énigme, chacune étant unique. Malheureusement, on se rendra vite compte que l’on ne peut pas sauver tout le monde, ou bien que d’autres ne rejoignent pas le feu de camp, satisfait de leur position. Ce lieu, mystérieux, ne possède pas que des flammes, mais aussi d’autres animaux comme les cochons. Très franchement, je n’ai pas compris ce que représentait ce lieu, mais je n’ai pas trouvé cela dérangeant pour autant.
L’intrigue est très simple, on sauve des flammes en perdition, je dirais presque « dépressive ». On les console, les réconfortes, chacune ayant ses propres problèmes. Ses problèmes, ils peuvent aussi nous rappeler, nos problèmes. Ainsi, d’une certaine manière, le jeu peut nous montrer qu’il ne faut pas baisser les bras, raviver la petite flamme qui est en nous. Les personnages les plus importants ont un design bien particulier pour les différencier. Le jeu n’a rien de violent, mais il peut être par instant, un peu « oppressant » puisque notre personnage est lui aussi en proie à ses propres problèmes. C’est un peu dommage que les flammes se ressemblent assez vite, avec seulement quelques détails qui changent.
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