The Last of Us Part II
Début du texte de ma vidéo :
« Décembre 2034, nous sommes avec Joel et Tommy
Tout pardon commence par des révélations
Joël à son frère Tommy confie sa trahison
L’horreur de ses crimes à l’hôpital St. Mary
Lieu de terreur qui jusque-là sommeillait en lui
Il portera le fardeau de l’humanité condamné
De sang-froid, le dernier scientifique, il a exécuté.
Que Tommy lui pardonne, cela nous questionne
Il aurait fait la même chose, qu’en est-il de nous ?
J’aurais sans doute fait la même chose, je l’avoue
Pour sauver les gens que j’affectionne
J'aurais volontiers sacrifié le remède de l’humanité
Joël trouvera-t-il sa rédemption auprès de ses compagnons ?
Il a choisi, il a trahi, Ellie voulait sauver l’humanité
Il a tué toutes les lucioles, pour la sauver elle
C’est l’amour qui dégringole, pour l’Eternel
Décembre 2034, nous sommes avec Joel et Tommy
Tout pardon commence par des révélations
Joël à son frère Tommy confie sa trahison
L’horreur de ses crimes à l’hôpital St. Mary
Lieu de terreur qui jusque-là sommeillait en lui
Il portera le fardeau de l’humanité condamné
De sang-froid, le dernier scientifique, il a exécuté.
Que Tommy lui pardonne, cela nous questionne
Il aurait fait la même chose, qu’en est-il de nous ?
J’aurais sans doute fait la même chose, je l’avoue
Pour sauver les gens que j’affectionne
J'aurais volontiers sacrifié le remède de l’humanité
Joël trouvera-t-il sa rédemption auprès de ses compagnons ?
Il a choisi, il a trahi, Ellie voulait sauver l’humanité
Il a tué toutes les lucioles, pour la sauver elle
C’est l’amour qui dégringole, pour l’Eternel
La petite ville de Jackson a mis son manteau blanc
La majestueuse tranquillité d’ici est mère de sûreté
Loin des horreurs du monde extérieur et des infectés
La veille, les habitants s'adonnent aux occupations d’antan
Ellie pour un slow est accompagnée
Le temps d’une danse au souffle court
La sensualité des corps s’exprime avec envie
Les cœurs palpitent en quête d’amour
Blotties l’une contre l’autre dans ce bal de nuit
Ellie et Dina se sont tendrement embrassées
Sous le regard désabusé d’un voisin plein de mépris
Les esprits s’échauffent, la fête est finie.
Joel a voulu la protéger, mais contre lui, s’est énervée.
Leur relation complice semble s’en être allée
Dans les murmures des non-dits où le mensonge règne
La vérité toujours s’immisce et nous gangrène.
Pour maintenir ces instants qui font la vie
Des patrouilles se relaient à l’extérieur
Ellie et Dina sont ensemble pour la leur
Pour guetter le monde et le mal qui sévit
Une tempête de neige va bientôt frapper
Elles se réfugient dans une librairie
Ancienne cachette d’un ami décédé
Elles s’allument avant de s’enlacer
Pour se consumer dans la nuit
Comme une flamme qui ne vacille
Et vient mourir entre leurs doigts.
Dehors, la tempête n’en finit pas.
Au-delà des murs de la ville
Les horreurs sont peintes par couche d’atrocité
Le blanc immaculé de la neige
Révèle le rouge sanguinolent d’un élan déchiqueté
Le monde est fait d’innocence et de pureté
Aussi de violences et de monstruosités. »
Molière K.