Avant il y avait Doom, ses suites et ceux qui l'ont mimé. De grands moments de multijoueurs. Les communautés de fans ont oeuvrés pour rendre ces pépites éternelles, se les appropriant pour leur donner mille visages. Ensuite il y a eut Quake, qui permettait encore d'autres folies douces pour sublimer le multijoueurs. Et puis Unreal Tournament. Le premier FPS à mon sens livré avec toutes les options multijoueurs clés en main, annonçant une ère de prospérité pour les FPS multi à venir.
L'équilibre dans l'arsenal, le level-design, et la jouabilité firent de ce jeu une référence ultime, lieu d'affrontements de hordes de joueurs passionnés, grisé par la maitrîse de leur avatar, fiers de leur coups d'éclats, soudés par le jeu en équipe.
Entre les divers modes de jeux, et la vivacité du gameplay, Unreal Tournament fut un des cartons ultimes qui ont marqués le jeu en réseau sur ordinateur et animés les LAN parties pendant de longues années.
Il restera pour moi un exemple à suivre de jeu multijoueurs hyper-jouissif et fait désormais parti de l'Histoire du jeu vidéo.