Ces volumes qui dégomment la tête

Annotation :

Je n'oublierai jamais ce mercredi où j'ai acheté et lu ce tome. J'avais cours à la fac ensuite mais le contenu m'a complètement bouleversé. Il tranche tellement par rapport au reste de la série, ce qui est dit à l'intérieur frappe tellement le lecteur, l'envie de pleurer est si forte que c'est pour moi le meilleur tome de Tôru Fujisawa. Lisez-le.

Annotation :

Deux chapitres autour de Kagehisa et Makie qui sont un véritable sommet. Tout est juste, du dessin (magistral), aux propos échangés. Ce qui se passe ne peut être écrit mais doit être lu et relu.

Annotation :

L'éclipse, ce qu'il s'y passe mais surtout l'avant-dernier chapitre, "Hors d'haleine" qui dépeint magnifiquement la souffrance de Guts. On souffre avec lui.

Annotation :

Si d'autres tomes de la série sont marquants ce dernier conclut la série avec bon nombre d'éléments qui ont fait la force de ce manga et qui nous percent facilement le cœur.

Annotation :

Un volume qui m'a beaucoup touché en nous montrant le monde de Shoko avec ses yeux à elle. Ses mots à moitié effacés, toute cette souffrance silencieuse qui s'accumule... poignant.

Annotation :

Shiratori et sa volonté de poursuivre sa carrière nous offre un spectacle dont les derniers moments rendent les yeux humides.

Annotation :

Honneur au premier volume : on passe du rire aux larmes (ou presque) en voyant Rei et les trois soeurs. Les moments de joie quand ils sont ensemble et cette tristesse qui n'est jamais loin, comme un écho aux drames que chacun a connu. Pourtant cela ne les empêche pas de continuer à avancer mais par les cases comme par les paroles ou les pensées, Chica Umino vient toucher notre coeur et c'est inestimable.

Annotation :

Un héros qui s'enferme dans des règles, sans voir que ses amis souffrent aussi. Une ambiance pesante et une fin marquante = un tome dont on ne ressort pas indemne.

Annotation :

Les deux tomes mériteraient sans doute de figurer. Mais l'explication qui se fait jour, les pièces du puzzle qui se reconstituent, ce dessin de Manu Larcenet. Trop puissant.

Annotation :

Un tome marquant par le virage pris par l'intrigue. Des passages que l'on ne peut pas oublier.

Annotation :

Un 3ème volume qui, s'il fait toujours rire, insiste peut-être davantage sur d'autres aspects de la série. Yoshio n'est pas qu'un guignol, c’est aussi l’homme qui voulait vivre sa vie, aussi imparfaite soit-elle. Ou comment le rire laisse la place à la réflexion.

Annotation :

La jaquette a ce côté vieil photo de famille, capture d'un moment de félicité aujourd'hui disparu. Le volume est à cet image, avec une conclusion qui sert la gorge bien comme il faut.

Annotation :

Même si c'est ma première découverte de Jojo's (donc je ne connais pas toute l'histoire de la famille Joestar) la conclusion apportée par l'auteur a ce côté doux-amer, particulièrement efficace sur ma petite personne.

Annotation :

Une fin de volume qui nous tombe dessus comme une guillotine et qui compte parmi mes premières expériences de ce genre.

Annotation :

Pas envie de spoiler quoi que ce soit mais... l'anime m'avait déjà bien bouleversé ; le manga n'a pas fait moins bien. Et cette fin...

Annotation :

Dire que je l'avais oublié... Tout se termine ou tout recommence avec ce dernier volume de Blame! Affaire d'interprétation. Le voyage prend une autre dimension par rapport aux chapitres précédents, il devient un voyage halluciné qui laisse le lecteur (en tout cas c'est mon ressenti) dans une bien étrange condition : rassasié et affamé ?

Annotation :

Par sa manière de dépeindre l'univers et les personnages, par la manière aussi dont il donne à voir comment l'absence de contacts physiques entre Sheeva et le Professeur n'empêche pas une véritable affection de naître, qui passe par tout un ensemble de gestes, de regards, de mots... Nagabe propose quelque chose qui ne laisse pas insensible.

Annotation :

Parce que ce qui se passe dans ce volume est une illustration vivante du mot catharsis.

Annotation :

Pour le chapitre un et la mise en images de la solitude dévorante qui croque le jeune garçon. On le termine les yeux humides.

Annotation :

Graphiquement Oshimi propose tout un jeu autour de la déformation visuelle chez ses "vampires", métaphore de l'adolescence et de ses pulsions. Un soupçon de Van Gogh par-dessus et on se retrouve avec des planches de toute beauté.

Annotation :

Dernier volume d'une série qui a su nous offrir des moments forts tant dans le lien entre les deux personnages principaux que dans l'exploration de cette part de femme dans l'homme ou l'inverse.
Ici certains passages rejoignent ce que Oshimi proposera dans Happiness.

Annotation :

Haruo, la forte tête du foyer passe quelques jours avec sa mère, en fin de volume. Peut-être que ce n'est pas le moment le plus maquant de la série, qu'il en viendra d'autres... mais ce qui se joue entre eux, cette distance invisible, les paroles de l'enfant, les réponses de la mère, les silences... en peu de pages cela compose un tableau qui interpelle, assez amer même si rehaussé par les dernières pages.

Annotation :

Dernier volume de la série, qui apporte son lot de moments forts, notamment à travers le dialogue entre deux grandes figures de cette série. Il y a de la tristesse à la fin, on espère que les "enfants prodiges" sauront trouver leur place, s'accepter. On a envie d'y croire tout en étant convaincu que la figure de Van Gogh était la plus adaptée pour traverser cette série.

Annotation :

Un manga où le mal-être des jeunes collent à la peau, où le sexe ne rattrape rien parce qu'échanger autrement est impossible. Valse incertaine, tempête sous les crânes, et l'auteur ne fera rien pour apaiser ce malaise. Vous voilà prévenus.

Annotation :

Une société où une partie de la population doit mourir, entre 18 et 24 ans. Vive la jeunesse... Et parmi ces personnes sacrifiées, ce 3e volume propose le sacrifice d'un graffeur qui montrera que la bombe (de peinture) peut-être plus forte que l'épée. Magistral.

Annotation :

Retour en force des Fleurs du Mal alors que j'avais été un peu déçu après le tome 6. Shuzô Ôshimi peint magnifiquement le retour de boomerang pour Takao, l'enchaînement des cases, la manière dont le passé revient... tout est parfaitement agencé. Du grand art qui ne peut qu'interpeller.

Annotation :

Souffrances identitaires, volonté de pardonner qui vient buter sur des douleurs passées qui ne peuvent pas disparaître, qui viennent se rappeler, parfois au pire moment. On croyait à un espoir, il nous est retiré. Et puis un drame se joue, sans un bruit, sans un mot pour parasiter les planches. Douleur, voilà le mot qui résume tout.

Annotation :

L'histoire de Yû et notamment les quelques pages où il se souvient de ses derniers moments... j'ai craqué quand j'ai lu ce passage la première fois.

Annotation :

Il y a celle qui reste et celle qui est partie ; des larmes et de la colère. C'est un tourbillon qui nous emporte. Parfois maladroitement.