Films découverts en janvier/février 2014

Annotation :

Triste.

Schwarzy/Sly mais rien de plus. Rien en fait.

Annotation :

Si je ne supporte pas Zayan (j'ai même eu la malchance de rencontrer son neveu sur les bancs de l'Inraci, identiques dans leur personnalités...)

Le documentaire est intéréssant néanmoins, didactique et bien présenté.
Je ne sais pas si les cours de Zayan ressemblent à ça mais j'aimerai bien le savoir.

Un ami l'a eu tiens, à en discuter autour d'une pinte. (Clovis si tu lis ces lignes...)

Annotation :

Basé sur une expérience fort critiquée par sa méthode et donc ses résultats.

Du type de celle de Milgram.

Annotation :

J'ai décidé de combler mon retard dans la filmographie de Simon Pegg (Shaun of the dead).

Humour british bien utilisé.

Annotation :

Un retour de John Landis.

Pas terrible.

Annotation :

Je n'en avais plus aucun souvenir.

En tout cas il fait du bien en cette période d'examens. (ULB année prépa)

Annotation :

J'avais vu Perdita Durango lors d'un cours d'un de nos professeurs de scénario en première (2008-09) désormais décédé.
Perdita, si je ne me souviens guère de l'histoire, en dehors du vaudou, m'avait plu par son WTF et son humour.

Ici c'est pareil.

Simplement efficace.

Annotation :

Old School 90's avec Tommy Lee Jones en sale enflure avec des chevaux et des bottes de motard (de quoi me plaire) et un Steven Seagal qui joue du cuistot.

Annotation :

J'en avais, comme pour les Gremlins qu'un souvenir extrêmement lointain et vague. J'étais persuadé qu'il s'agissait d'un Spielberg, au final il en est "simplement" producteur et il me semble co-scénariste. Mais avouez, la petite banlieue tranquille, les vélos et les gamins qui gravitent autour, ça ne vous fait pas penser à ET ?

Annotation :

Old School 80's

Avec Chris Penn (le frère de Sean) et leur papa.
Style John Hugues sans la morale.

J'en ai déjà oublié la fin.

Edit : fin du mois j'en ai carrément oublié le film.

Annotation :

Un journaliste misogyne avec une barbe façon Tom Selleck, so 80's.

Comblé.

Annotation :

Documentaire exceptionnel sur l'inaccessible Birmanie.
Un Disneyland dans une des pires dictatures.

Annotation :

Alice Cooper complètement barge dans cet excellent Carpenter.

Annotation :

J'enchaine dans les inconnus de Big John.

Annotation :

Apparemment le film le plus court, ça ne le rend pas bon pour autant.
Coup de marketing d'IBM

Annotation :

Carpenter, Tobe Hopper, Wes Craven se réunisse pour faire 3 courts dans le style Les contes de la cripte.

Sympa.

(L'épisode avec Mark Hamill et son oeil en l'associant avec le précédant sur les cheveux me fait incroyablement pensé à un spécial horreur des Simpson où Homer reçoit la chevelure du tueur)

Annotation :

Je continue toujours dans mes inconnus de Carpenter.

Mélange de western/vampires. Avec comme nous le dit James Woods dans le film :

No... Well first of all, they're not romatic. Its not like they're a bunch of fuckin' fags hoppin' around in rented formal wear and seducing everybody in sight with cheesy Euro-trash accents, all right? Forget whatever you've seen in the movies: they don't turn into bats, crosses don't work. Garlic? You wanna try garlic? You could stand there with garlic around your neck and one of these buggers will bend you fucking over and take a walk up your strada-chocolata WHILE he's suckin' the blood outta your neck, all right? And they don't sleep in coffins lined in taffata. You wanna kill one, you drive a wooden stake right through his fuckin' heart. Sunlight turns 'em into crispy critters.

Annotation :

Ice Cube, Jason Statham dans un Carpenter, ça intrigue.

Mélange de The Thing (virus invisible qu'on ne comprend pas) et d'Assaut (un prisonnier, ses potes. Reciproque : les méchants ont besoin des gentils pour survivre et inversement)

Annotation :

Découvert suite à un épisode de Crossed par l'excellent Karim Debbache.
Il faudra que je revisionne sa critique car il me semble que je suis plutôt en désaccord.

Annotation :

Un film Disney de 1969 avec... Kurt Russell.
Oui, le Kurt Russell de John Carpenter.

Son cerveau devient celui d'un ordinateur, suite à un dysfonctionnement d'une machine.
Tout un programme.

Annotation :

Premier film du Ramdam. Un sacré docu, mélangeant des tons de fiction d'anciens bourreaux voulant faire des films sur leur vécus dans un pays qui les protège.
A voir.

Annotation :

RAMDAM 2 :

10 réalisateurs film contre le gouvernement Poutine. Sans aucun doute choisi pour la présence d'un Depardieu en parrain du festival.

Annotation :

RAMDAM 3 :

Subtil, on aura beau critiquer son happy end, une histoire ne peut pas juste être belle ? Est-ce qu'un bon film doit être triste et mal se terminer ?
En gros qu'est-ce qui pousse la majorité des gens à vouloir une fin triste pour clore "comme il se doit" un film traitant d'un sujet délicat ?

Annotation :

RAMDAM 4 :

Belle vision forte de sens des travailleuses du sexe axée sur les personnes handicapées.

Annotation :

Sur un début incroyablement long et chiant et une animation plutôt bien laide, le film finit par se laisser regarder.

Annotation :

RAMDAM 5 : Film surprise

Un début incroyablement attirant, la façon d'entrer dans l'appartement, petit à petit, le doutes des intentions qui s'installe. Incroyablement bien géré puis on arrive à un film qui tire en longueur pour une fin sympathique.

Annotation :

Une photo de rêve, une musique brillante mais un rien longuet.

Annotation :

Un Karl Zéro toujours aussi fouineur, impertinent et drôle.

Annotation :

Un casting de rêve, le seul film de Capote. Loin d'être un bijou mais une oeuvre sympathique.