Films vus/revus en 2021

Annotation :

1er janv- vu !

Annotation :

1er janv - vu !!

Annotation :

2 janv - vu ! Un film poignant qui tout en ne voulant pas jouer au tir-larmes sème tout de même des graines d'émotions intenses. Si le film jouit d'une certaine stoïcité visuelle même dans sa dernière partie il faut y voir surtout une approche peu lyrique d'une histoire suffisamment enlevée par des interprétations entières.

Annotation :

2 janv - vu ! En dépit d’un Jude Law convaincant et d’une photographie flatteuse, The Nest souffre de quelques boursoufflures narratives ci-et-là accentuées par une Carrie pas toujours bien dirigée. De plus les zoom-in/out intempestifs de la caméra finissent autant par agacer que de diminuer leur visée oppressante. Dommage car la trajectoire du couple est intéressante mais pas filmée de manière à la faire ressentir dans sa juste finesse à l’image.

Annotation :

3 janv - vu !

Annotation :

3 janv - vu ! Autant le premier est oubliable, autant celui-là, malgré des défauts ci-et-là, rend enthousiaste et les interprétations de Gal Gadot (peut-être un peu maladroite mais touchante), Chris Pine (fidèle à sa bonhomie) et Pedro Pascal (qui ne mérite pas qu'on le casque tout du long de The Mandalorian) font passer un bon moment. Edit : -2, le film n'est tout de même pas bon !

Annotation :

6 janv - vu !

Annotation :

7 janv - vu !

Annotation :

10 janv - vu ! Court-métrage n'est pas devenu grand. Si le point de départ est réussi, la suite est languissante. Malgré un fond intéressant, Sorogoyen s'accroche à ses plans-séquences au point de rapetisser les visages et circonscrire les émotions de ses acteurs. Du coup on voit des corps se balader, des fois c'est pertinent (scène de "home invasion") mais très souvent ce n'est pas suffisant.
Et puis on sent que le matériau de base était un court-métrage car il n'y a pas beaucoup d'avancées narratives après la première demi-heure. Cela n'aurait été dérangeant si à plusieurs moment Sorogoyen ne laissait pas "espérer" une percée dans le mystère initial qui n'arrive jamais.

Annotation :

11 janv - vu ! Ca pique les yeux, c'est laid, la narration est finie à la serpe mais c'est aussi d'une ironie grinçante qu'on ne connaissait pas encore, me semble-t-il, chez Noé. Et puis arrive ce moment, pas vraiment une apothéose artistique mais un martelage d'effets stroboscopiques qui "kaléidoscopaient les choses" (pour citer Verlaine) cumulés aux hurlements hystériques de Béatrice Dalle et un silence bourdonnant qui nous transportent dans un cauchemar clairvoyant où les nouveaux aveugles que nous sommes seraient les rois. Ca fait quand même sacrément mal aux yeux.

Annotation :

16 janvier - vu !

Annotation :

17 janv - vu ! Une sacrée tranche de noirceur, un requiem pour les désespérés.
(Deux tantes May se sont glissées dans ce film, mais pas de Peter Parker).

Annotation :

18 janv - vu !

Annotation :

20 janv - vu !

Annotation :

21 janv - vu ! Volontairement perdu entre deux eaux, Enorme convoque un Serge le mytho et une Marina Foïs en cabotinage terne mais décalé devant un parterre de faux acteurs/vrais professionnels pour un résultat pince-sans-rire qu'on devine rigolo mais qui ne fait pas tant rigoler que cela.

Annotation :

23 janv - vu ! Si les messages abordés dans Saint Frances sont louables dans une Amérique divisée dans des débats sociaux qu'on connait ici tout autant, ils sont aussi mis dans la face du spectateur à coup de sabots un peu trop lestés. Du coup le cinéma devient ici bien complaisant et unilatéral. Dommage car les interprétations étaient de taille à nourrir un film mieux écrit ! Ah et attention ça spoile Harry Potter !

Annotation :

23 janv - vu ! Une presqu'excentricité formelle qui fait d'abord voir le film comme une curiosité moderne puis comme une évidence intemporelle.

Annotation :

25 janv - vu !

Annotation :

28 janv - vu !

Annotation :

30 janv - vu ! Emmanuel Mouret s’attarde trop à une dissertation sur le sentiment amoureux. Par le jeu de flashbacks faisant office de thèses et d’antithèses, il jette des ponts et des connexions pas forcément intéressantes d’un point de vue du récit. Malgré quelques interprétations délicates (Emilie Dequenne et Jean-Baptiste Anoumon) on finit par se dire qu’on aurait pu tomber amoureux du film si seulement son dispositif s’était contenté de tous ces dialogues évocateurs (mais pompeux à trop grande dose) et des interprétations salvatrices des seuls Camélia Jordana en monteuse casanière et Niels Schneider en presqu’écrivain. Un film qui en cache donc un autre sur l’amour entre l’agencement des images (la monteuse) et le choix des mots (l’écrivain) qui aurait pu se passer des nombreuses séquences et de quelques mots pour en devenir bien plus délicieux et mémorable.

Annotation :

30 janv - vu !

Annotation :

31 janv - vu !

Annotation :

1er fév - vu ! Presque des airs de Taxi Driver horrifique très enthousiasmants dans les deux premiers tiers mais la fin s'enflamme ramenant le film dans une dimension bien plus anecdotique.

Annotation :

2 fév - vu !

Annotation :

3 fév - revu !

Annotation :

5 fév - vu et revu !

Annotation :

6 fév - vu !

Annotation :

6 fév - vu !

Annotation :

7 fév - vu !

Annotation :

7 fév - vu !