Le Monde Merveilleux de la Japanimation.

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Le plus épique des films de la japanimation et le plus immersive que ça soit en terme d'univers, d'animation ou d'écriture. Le tout avec une gamme de personnage tous plus réussis les uns que les autres, l'incroyable musique de Joe Hisaishi et le tout avec un maîtrisé propre à Miyazaki. Du grand art !

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Bouleversant et émouvant à souhait, je regrette de ne pas avoir regardé le film jusqu'au bout la première fois. Deux enfants adorable à souhait, une mère qui force l'admiration, une patte visuelle propre à Hosoda qui ne fait que s'améliorer de film en film et le tout avec une histoire magnifique.

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Un des films d'animation les plus esthétiquement abouti qui m'ait été donné de voir, tant dans le chara-design que dans les environnements rendu vivant à travers les touches d'aquarelles. Le film est porté par son aspect de fable philosophique et son héroïne infiniment touchante.

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Un des Ghibli les plus maîtrisé ou chaque détail est traité avec une extrême subtilité : tant dans l'écriture du personnage de Shizuku que dans les relations entre les personnages, les thématiques du film, la musique ou encore le rythme. Un vrai bijou de l'animation japonaise.

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Un délire visuel et onirique complètement allumé avec plusieurs sens de lecture fascinantes à étudier, le tout avec un découpage propre à Satoshi Kon et j'avoue être gaga du personnage de Paprika malgré une ou deux facilités. Tout simplement énorme. D'ailleurs Christopher Nolan s'est pas mal inspiré de ce film pour réaliser son "Inception".

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Si vous adorez le film, les 7 tomes du manga sont à découvrir de toute urgence tant elle enrichit l'univers déjà très riche que Miyazaki a développé avec ce film. Le tout premier Miyazaki que j'ai découvert.

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Vive les cochons du ciel !

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Un autre Miyazaki quasi sans défaut et qui m'a fait voyager pendant près de deux heures aux côtés de Pazu et Sheeta... cet homme me manque.

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Fascinant, dérangeant, froid, déroutant et extrêmement riche en terme d'univers et de thématique sur l'intelligence artificielle. La découvert de Ghost in the Shell a été une excellente surprise parfaitement réalisé et à la BO hypnotisante, juste dommage que ça ne dure pas un tout petit peu plus longtemps.

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Mamoru Hosoda atteint à nouveau l'aboutissement avec Belle : sorte de Summer Wars 3.0 liant à la fois drame intimiste et ambitions esthétiques incroyable, un tout teinté de lyrisme et de poésie visuelle, à l'héroïne profondément empathique et aux moments de grâces incroyable. Seul ombre au tableau; les allusions forcées à la version Disney de La Belle et la Bête à l'utilité totalement discutable.

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Une expérience visuelle et auditive très fascinante porté par une sublime musique et de nombreux moments sombres et étranges accompagnant l'aventure de la jeune ange à l’œuf. Et comme toujours chez Mamoru Oshii, l'ambiance est toujours aussi froide.

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Pari tenu et relevé grandiosement pour Kyoto Animation en adaptant la plus longue histoire de la série romancière d'Haruhi Suzumiya. Le studio ré-exploite ingénieusement certains de ses personnages (Yuki Nagato et Kyon) tout en faisant le lien avec les événements de la série et le monde parallèle qui nous est projeté, en plus de justifier l'aspect contemplatif, l'absence d'humour pendant 90% du film et une animation graphiquement très réussie pour une histoire à l'émotion indéniable.

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A 2/3 maladresses près, ce second volet de Puella Magi Madoka Magica reprend les qualités du premier film tout en atteignant le point culminant émotionnel dans son dernier tiers, poursuivant son expérience de subversion avec intelligence avec une excellente conclusion pour ses héroïnes Madoka et Akémi (pour la série du moins).

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Thriller psychologique et début brillant d'un Satoshi Kon inspiré qui aborde autant la reconversion que les déboires et les troubles psychologiques qui en découle, découpé et monté avec sagacité et toujours aussi maîtrisé et référentiel selon moi 25 ans après sa sortie.

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Une extension très bien venue à l'univers, des thématiques élargies, une animation améliorée bien exploité et des retrouvailles bienvenues avec Akane Tsunemori et Shinya Kogami : ce film continue d'enrichir à merveilles l'univers judiciaire dystopique et sombre de Psycho-Pass.

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Un autre drame d'animation, mais chez Ghibli et Hiromasa Yonebayashi cette fois pour deux héroïnes dont la relation fait la grande force de cette oeuvre. Une oeuvre à faire connaître davantage.

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Un redécouverte surprenante par un semi rôle principal que l'on réapprend à aimer, une énergie absolument démentielle, un rendu graphique à la maîtrise inattendue donnant une dimension incroyable au match et fidèle aux thématiques universels de l'oeuvre d'origine, The First Slam Dunk associe à merveille le grand divertissement et l'intimiste pour nous replonger dans l'un des meilleurs mangas de sport à travers une adaptation des plus surprenantes.

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Epopée moderne fantastique à travers le Japon, Suzume confronte son héroïne à l'hyper urbanisme et à l'abandon des lieux sabordés par les caprices de la nature avec un profond souci de mémoire. L'animation fait de nouveaux des merveilles, l'héroïne porte dignement le récit, et la simplicité regorge de seconde lecture passionnante qui se considère avec un peu de recul.

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Ben ouais c'est un putain de bon Miyazaki, qu'est-ce que je peux dire de plus ? Cela dit, je partage un poil moins l'enthousiasme de sa grosse fanbase.

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Un mélange extrêmement minutieux entre tranche de vie et les retombées de la seconde guerre mondiale sur le sol japonais, si on excepte une histoire un peu longuette. A la fois tendre et très attachant à l'image de son héroïne Suzu, et aussi réaliste, dure et cruel comme les différents aspects qu'explore Katabuchi de cette période en plus des cultures locales.

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Un bonus particulièrement appréciable pour tout fan de la série, tant pour l'upgrade en animation que pour la réalisation, la musique et l'ambiance toujours aussi belle que dans la série.

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Une comédie dramatique d'animation très réussi et qui est, pourtant, le moins Satoshi Konnnien de sa filmographie (ce film ayant été réalisé en collaboration avec Shôgo Furuya). Le film n'évite pas les moments tire-larme mais est bien rattrapé par un bon dosage du drame et des moments plus légers et trois personnages principaux convaincants.

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Makoto Shinkai était très attendu après son fameux "Your Name" et il est bien loin de décevoir. "Weathering with you" témoigne d'un vrai talent à narrer un conte moderne en alliant esthétique sublimée, le soin accordée dans la relation entre Hina et Odaka ainsi que les rôles secondaires très bien traitée, la question de l'intégration dans la société et en y apportant une émotion définitivement plus grande que la simple contemplation dans ses premiers travaux.

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A la fois un magnifique baroud d'honneur au film de vampire et un entrecroisement très maîtrisé de multiple genre, cette seconde adaptation des nouvelles de Hideyuki Kikuchi sur le chasseur de vampire D marque les esprits tant par ses visuels gothiques abouties que l'atmosphère qui ressort de l'aspect crépusculaire de son univers à la dérive et du drame de ses principaux personnages.

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A revoir prochainement !

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Je ne sais pas si c'est le fait de ne pas avoir revu l'animé Evangelion entre-temps, mais Hideaki Anno parvient à livrer un second volet d'excellente qualité. Les retouches d'écriture mènent à une voix différente, l'animation des combats et du style visuel est largement amélioré et plus intense, la musique est superbe, les personnages intéressent bien davantage et pour je ne sais quelle raison j'adhère bien plus à la froideur et à la dureté de l'univers.

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Revoir Akira m'aura vraiment pas fait de mal : l'oeuvre d'Ôtomo est à voir non pas comme un film à personnage, mais comme un film à univers qui en dépeint la fin, l'aboutissement d'une nouvelle et dont le centre d'intérêt même du film peut être perçu de diverses façons. La patte esthétique de l'auteur est toujours aussi incroyable, la musique superbe et l'atmosphère terriblement prenante.

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Une histoire inédite extrêmement déroutante, et pas qu'un peu. Un second visionnage s'imposera pour avoir un avis plus concret et moins perplexe sur ce dernier volet de la trilogie Puella Magi.

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Un drame historique très émouvant porté par de très belles séquences rêvés du Train de nuit dans la Voie lactée et un joli lot de personnages. Même si je suis un peu moins client du type d'animation de ce film, c'est un long-métrage à garder en mémoire.

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Éternel fan du manga oblige, qu'est-ce que j'y peux ?