Lus en 2015

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Voir la critique de Pravda :

http://www.senscritique.com/livre/L_ivresse_du_kangourou_et_autres_histoires_du_bush/critique/16095549

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Anecdotique puisque centré sur un personnage délirant et dépourvu d'enquête. Lecture néanmoins savoureuse pour les amateurs de foot. Cela va de l'épopée des verts (les poteaux carrés, Glasgow 1976) aux glorieuse campagnes de l'équipe de France, période Platini.

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Pas grand-chose à dire sinon que ce livre n’est pas un classique pour rien. Belle inventivité, pure fantaisie de "nonsense" qui peut se lire à pas mal de niveaux, c’est également poétique, un régal. J’ai acquis « Tout Alice » et commencé par « Les aventures d’Alice sous terre » qui n’est qu’une version initiale (de travail), il vaut mieux lire la version finale. Petit regret avec certaines tournures de phrases maladroites (destinées probablement à restituer quelque chose du langage d’Alice qui, après tout, n’est qu’une petite fille) avec ces descriptions qui se finissent régulièrement par un « dit Alice » bien lourd en comparaison d’un « Alice demanda » ou « Alice expliqua » en début de phrase.

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Tombé dessus par hasard en médiathèque. Petit bouquin d’une cinquantaine de pages qui m’a permis de découvrir Frédérique Deghelt. L’écriture est plutôt bonne, ça se lit bien. Mais j’ai trouvé ce récit plutôt anecdotique. Cela se passe aux Etats-Unis (entre gens qui parlent des States), avec un musicien de jazz qui sent qu’il perd sa femme. Il rencontre un ancien ami qui lui vient de rencontrer une nouvelle femme dont il dit grand bien. Le récit vaut essentiellement par sa chute.

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Malgré une certaine émotion à la lecture, ce recueil de deux récits ne me laissera guère de souvenir. Le premier thème est particulièrement morbide et le choix de narration jamais crédible. Deuxième nouvelle plus intéressante, puisqu’elle croise plusieurs thèmes qui me semblent révélateur d’une culture japonaise.

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Roman policier qui a obtenu le prix du quai des orfèvres 2015. Se lit assez bien. Néanmoins un peu décevant par rapport à un potentiel intéressant. Finalement les motivations du tueur en série restent bien vagues voire minces. Pourtant, c’était intéressant d’en faire un ancien libraire et d’évoquer la manuscrit de Kells en le faisant venir en Irlande. L’ambiance irlandaise est crédible et certains personnages intéressants, notamment celle qui héberge le tueur. Par contre, la sous-intrigue sentimentale du côté policier convainc moyennement car on sent qu’elle est bien pratique pour la résolution finale de l’enquête.

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Une histoire assez inclassable, ce qui est assez ironique puisque Homer et Langley sont deux collectionneurs (qui vivent dans une maison indescriptible). Il faut dire qu’Homer est aveugle et que Langley est rentré de la première guerre mondiale, un peu frappadingue après avoir été gazé. J’ai malheureusement étiré cette lecture sur plusieurs semaines, mais je suis finalement bien entré dans ce livre étrange, lu grâce à la critique de Kalimera que je remercie !

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Un roman dans lequel j’ai eu un peu de mal à entrer, trop de personnages secondaires à peine esquissés. Quand l’enjeu commence à apparaître, la lecture devient nettement plus prenante. Quelques révélations terribles. Coe aime bien ce procédé de flashback à l’aide de documents qui ravivent la mémoire. Un peu lent à démarrer ici.

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Un court roman qui se lit bien. Le personnage principal n’est sans doute pas le point important du roman, mais plutôt l’ambiance générale qui donne une idée de ce qu’est l’Amérique du Sud. Un plaidoyer écologique intelligent, car illustré progressivement.

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Un petit bouquin bien dans l’esprit de Georges Perec qui adorait se lancer dans des défis littéraires (ici placer autant de figues de styles que possible). Intelligent, mais l’histoire est bien mince.

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Deuxième enquête de la série Kenzie-Gennaro. Un roman policier très prenant et qui justifie son titre. Le style Lehane vaut le coup, je compte poursuivre.

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J’avais eu ce livre offert pour l’achat de 2 et je n’en attendais pas grand-chose. Finalement, cette enquête en plein Moyen-Age (1155) n’est pas mal du tout. Le style est correct, le bouquin pas spécialement épais, rythmé par 64 chapitres qui apportent tous quelque chose. Les personnages sont bien étudiés et l’auteur sait ménager ses effets, laissant le lecteur profiter d’une ambiance particulière avant une mort qui se révèle douteuse. De nombreux facteurs interviennent dans un enchainement de circonstances menant au drame. L’attention du lecteur ne se relâche jamais.

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Un recueil de 4 nouvelles d’un auteur que j’apprécie, sur le thème du bilan en fin de vie. Autre lien (pour 3 nouvelles) : l’Afrique, son ambiance, ses légendes. Premier récit franchement dur mais très prenant, marquant. Le deuxième récit est newyorkais, violent et un peu iréel. Violence aussi pour le troisième récit très désenchanté. Le dernier, nouvelle-titre, illustre le goût du conteur. Laurent Gaudé, dans un style sans fioritures, phrases souvent très courtes, poursuit une œuvre de qualité.

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Très belle entrée en matière d’un passionné de littérature policière dans un domaine qui comporte déjà quelques jolies pointures. Ce roman rend hommage à quelques grands noms de la littérature policière, au fil d’une intrigue à tiroirs très inattendue. Belle galerie de personnages, suspense garanti jusqu’à la fin.

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Un roman étonnant, portrait de Walt, garçon ayant grandi dans les rues, repéré par un mentor extraordinaire qu’il appellera maître (il lui propose un avenir hors du commun). Les thèmes favoris d’Auster sont là, notamment celui des caprices du destin. Par contre, tout est vu par Walt, et si le roman ne manque pas de péripéties, Auster perd un peu de sa puissance narrative en se glissant dans la peau d’un personnage peu instruit.

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J’attendais un roman policier et c’est surtout un roman psychologique. Les amants du titre sont deux jeunes naïfs sans moyens qui s’aiment d’amour et d’eau fraiche. Leur rêve, voir la mer. Le moyen ? Un casse facile proposé par un « ami » qui connaît les lieux. L’affaire tourne mal. Les conséquences sont l’occasion pour l’auteur de dresser quelques portraits psychologiques sans concession. Belle lueur d’espoir au final

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Un court roman qui se lit bien. Le personnage principal n’est sans doute pas le point important du roman, mais plutôt l’ambiance générale qui donne une idée de ce qu’est l’Amérique du Sud. Un plaidoyer écologique intelligent, car illustré progressivement.

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Des deux nouvelles du recueil, la nouvelle-titre est celle qui déçoit, élucubrations d'un romancier à propos d'un double meurtre gratuit. L'autre "Le bras" plus courte est nettement plus originale.

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Le narrateur est à la recherche de Jacqueline Beausergent qui était au volant d'une voiture couleur vert d'eau l'ayant renversé place des pyramides. Estourbi, il enquête tout en ayant des réminiscences. Un livre bien dans le style de Modiano, qui se lit bien, mais qui risque de ne pas laisser de vrai souvenir durable.

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Voir la critique de Charybde7 :

http://www.senscritique.com/livre/Tangente_vers_l_Est/critique/31547667

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