Bonjour.
De page en page, l'obsession sexuelle ne mène nulle part qu'au bout des 452 pages où tournent en ronds mouillés l'ironie et l'acide tendresse humaniste qui se voudraient humour et commisération pour les destinées humaines mâle et femelle si difficiles à faire s'accorder.
"Mais non !" dit le philosophe mâtiné de sociologie éclairée. "C'est une critique de l'impérialisme américain dans les pays non-émergents d'Amérique du Sud et ses méfaits sur l'acculturation des peuples premiers !"
Tant d'histoire de cul(-te) familial(e) pour justifier une si longue et monotone analyse ethnographique finalement si opaque ?
Le temps de retourner consulter mon ophtalmo, que mon opticien me fabrique les lunettes adaptées à une relecture de ces cent tons de folitude, et je reviens illico prouver la justification de ce Prix Nobel de littérature bien au-dessus de mes actuelles capacités de lecture .