Si vous ne savez pas comment annoncer la chose, piochez, lâchez-vous, je vous en prie!
"Venter...
Pousser des soupirs parasitaires...
Regarder les draps s’enfler de mes vents fougueux...
Se laisser porter par mes vents coulis...
Renvoyer des nébulosité talqueuses..."
"Ignorant les lanceurs d’osselets, de calots et totons, tous les jeux qui demandent cette position accroupie si favorable à l’expulsion des vents, également ceux de cache-cache durant lesquels les pets immanquablement trahissaient ma présence, et de marelle où mes knickers-bockers s’enflaient à chaque saut, je m’éclipsais sur mon transibérien dont je domptais la locomotive utopique à laquelle à petits pas de handicapé mental, je faisais franchir les viaducs oscillants et sonder des tunnels sans fin ponctués de teuf-teuf et de prout olifants, esquives à ce point captivantes qu’elles en chargeaient parfois mes caleçons de sinapismes à la moutarde."
"Je lâchais près d’eux des bulles irisées qui remontaient en bouillonnant à la surface avant d’éclater à l’air pur en libérant leurs gaz contestataires."
"J’envoyais tel un météorologue quelques ballons-sondes sortis de mon fondement…"
"Expulser par grappes entières...
Mettre en marche mon cyclomoteur...
Imiter le canon...
j’étais dans ma période de dandysme venteux...
Seul un souffle silencieux ténu comme un soupir parvint au crépuscule à se glisser hors de mon fondement...
J’étais à la merci de mes caprices intestinaux...
Pets musqués, vents carabinés, flatulences chromatiques..."
"Avec ma série des gazogrammes, je devins le chef de file des hyperabstraits."
"La logique fit arrêter mon choix sur le suicide aux gaz intestinaux."
"Evguénie Sokolov venait de rendre un dernier soupir anal, une ultime flatulence posthume et vénéneuse à la mémoire des hommes."