Les premiers tomes sont tellement accrocheurs qu'on se demande où cela, si cela, va s'arrêter. La réponse est L'effet Papillon.
L'auteur baisse clairement d'un ton. 150 pages avant de commencer à se mettre dans l'enquête, c'est beaucoup. D'autant que cette dernière n'en est pas vraiment une, les éléments tombent littéralement sur le coin du nez de notre triptyque du département V et le tout est relativement prévisible. La lecture a été pénible et j'ai clairement forcé pour ne pas le jeter durant les 100 dernières pages. Adler-Olsen en fait beaucoup trop sur les états d'âme de Marco, passé de mendiant à enquêteur en herbe sur 25 pages, et beaucoup trop sur la répétitive manière qu'il a de s'échapper à ses poursuivants tout le livre durant. Lourd.