L'essentiel, c'est le chemin. Je crois que c'est ce qu'il faut retenir de ce livre. Alors oui, la fin est prévisible depuis le début, certains passages peuvent paraître un peu longuet, et on se perd parfois dans l'ensemble des personnages de la horde mais les mots, la poésie et l'incroyable imagination et univers crée par Alain Damasio relève le tout.
Les 700 pages se dévorent d'un seul bloc, tant cette horde nous prend littéralement aux tripes.
Mon seul regret, n'avoir pas pu lire la première édition avec la bande-son crée pour cet univers.