Et voilà ma lecture du Mépris terminée. Je suis à la fois subjuguée par le style de Moravia et frustrée par la précipitation de la fin. Quoiqu'il en soit, le Mépris reste un roman psychologique qui parvient avec une aisance déconcertante à dépeindre le conflit des sentiments : du doute à l'incompréhension, en passant par la colère, le lecteur ne peut qu'assister à l'impuissance de la raison face à la perte de l'être aimé.
Créée
le 5 août 2020
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