Critiques de Ör

Cinephile-doux
8

Un homme et une perceuse

« Toutes les familles heureuses le sont de la même manière, les familles malheureuses le sont chacune à leur façon. » Ce que Tolstoï disait des familles est également vrai pour n'importe quel...

le 23 nov. 2017

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VDG-C
7

Critique de par VDG-C

Un homme suicidaire quitte son Islande natale (son ex-femme, sa fille Nymphea dont il s'est fait tatouer la fleur éponyme sur le coeur, sa mère démente) avec une caisse à outils et son journal intime...

le 7 févr. 2021

1 j'aime

AllMadeHere
5

Critique de par AllMadeHere

J'ai découvert Auður Ava Ólafsdóttir avec Rosa Candida, premier roman pour lequel j'avais eu un coup de cœur. Le second, L'Embellie, m'avait beaucoup moins convaincue. J'ai retenté ma chance avec Ör...

le 1 févr. 2018

1 j'aime

Christane
10

En quête de reconstruction

Un nymphéa qui fleurit sur le cœur, une boîte à outils consolatrice, l'odeur de l'herbe qui revient, un voisin attentif, des nombres pour exprimer l'horreur, la mémoire dans de vieux journaux, des...

le 5 déc. 2017

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ChrisLausanne
7

Ör = cicatrice en islandais. Mais tout ce qui brille n’est pas or…

C’est bien écrit, fluide, sans fioritures ou bavardages. Enfin si, il y a des réflexions bavardantes, qui émanent de la relecture du journal secret, oublié depuis 30 ans, retrouvé par hasard, et...

le 19 août 2024

AMqt
8

Critique de par AMqt

"Le mot islandais ör signifie "cicatrices". Il n'est ni féminin ni masculin, mais d'un troisième genre qu'on appelle neutre. Ôr est identique au singulier et au pluriel : une ou plusieurs cicatrices...

Par

le 29 mars 2024

jujumaries
8

Critique de par jujumaries

Étrange et inhabituel, d'un style surprenant, mais scotchant

le 26 nov. 2022

HélèneLecturissime
8

Apprendre à panser ses cicatrices

Jonas Ebeneser est un homme à bout. Il sait qu'il ne peut attendre de réconfort ni de sa mère, devant sénile de jour en jour, ni de son ex-femme, ni de sa fille, dont, il vient de l'apprendre, il...

le 10 janv. 2018