Un meurtre que tout le monde commet par Tyran
Sans spoiler, je ne peux pas exprimer mon idée sur ce meurtre, celui que tout le monde commet. Mais je peux dire que la forme, très dense, n'est jamais ennuyeuse, parfois tarabiscotée.
L'histoire du Meurtre est avant tout celle d'une vie, celle de Conrad Castiletz. On est au plus près de la psychologie du personnage, et celle-ci a quelque chose d'universel.
Des métaphores me resteront: celle bien sûr du triton, les yeux du chat Tschi-Tschi Peter, les trains, Ida, les industriels en goguette à Berlin.