Qu'est ce que ça paraissait sexy... Et au final... Et ben ça l'était moins...
J'ai toujours détesté qu'on fasse subir au lecteur un ressenti négatif sous prétexte que c'est raccord avec l'histoire/le héros/le cadre.
Première fois que je lis Pynchon donc pas de généralité. Mais le trip mon héros est un hippie junkie qui plane à 10 000 alors je fais des phrases sans queue ni tête qui se finissent pas, très peu pour moi.
L'histoire est un prétexte au déploiement d'une faune relativement incroyable de personnages. Certains sont passionnants, d'autres inutiles. De toute façon, quand dans un roman, on dépasse les 20 personnages actifs d'une histoire, y'a comme qui dirait une endive dans la soupière.
Bizarrement, il me tarde de voir le film pour savoir si Paul Thomas Anderson arrive à gommer les scories tout en conservant l'ambiance hippie décalée.
Au vu de la BA, qu'est-ce que cela parait sexy... Et au final... ?