Le pitch : Frappé par une maladie allergique déclenchée durant son enfance, Kim Min Gyu (Yoo Seung Ho) ne peut toucher physiquement personne sous peine de mourir s'il n'a pas son "injecteur bloquant" à porteur de main . Il se voit affublé d'une androïde en phase de test par une équipe de savants, qui n'en est pas une en fait (le savant l'ayant mise au point ne l'a pas encore finalisée). Prénommée Aji 3 (Chae Su Bin), la jeune femme ne sait pas au début que toucher "son maitre" peut s'avérer fatal pour lui. Et le miracle a lieu : ils peuvent se toucher sans que cela provoque une allergie chez Kim Min Gyu .
Lui est un multi milliardaire qui dirige une grosse entreprise dans la tech, elle vient d'un milieux plutôt modeste. Toujours le cliché bateau chez les coréens.
Au début du drama, l'histoire peut paraitre malsaine, parce que tomber amoureux d'un robot (le héros le croit à 100%), ca peut semblait bizarre. J'ai failli arrêté au bout du premier épisode pour vous dire, parce que çà avait l'air d'un truc nunuche sans profondeur.
Le héros est étonné par les réactions quasi humaines de l'androïde, et lui qui a toujours vécu seul, commence à éprouver des sentiments pour cette androïde, surtout que cette dernière lui permet de toucher des gens sans porter des gants de protection.
Yoo Seung Ho joue parfaitement ce héros touchant et enfermé dans sa solitude. Chae Su Bin tire aussi son épingle du jeu en jouant le double rôle du robot Aji3 et de Jo Ji Ah, même si ce n'est pas non plus l'actrice de l'année.
La partie que je n'ai pas aimé : la pseudo intrigue de thriller complètement ratée.
Ce qui m'a déplu encore , c'est le fait de nous imposer 3 ou 4 épisodes de remplissage passé le 10e épisode, et surtout la fin expédié en 5 minutes !
En conclusion, ca reste une fiction de très bonne facture qui vous fera verser quelques larmes, surtout quand les 2 héros s'expliquent et exposent leurs sentiments respectifs.