Amen / 20
Troisième film d'almodovar. Dans la veine de son premier film (Je n'ai pas vu le labyrinthe des passions) le film est extravagant, très libre dans l'esprit, toujours ce coté un peu bordélique et...
Par
le 11 mars 2020
1 j'aime
Dans les ténèbres peut être rangé dans la catégorie des films dits de « nonnexploitation », films qui multiplient les scènes érotiques, notamment entre femmes, dans des couvents. Mais, évidemment, Almodóvar transcende le genre et nous livre un objet assez bizarre, un peu roman-photo et littérature de gare, kitsch et d’assez mauvais goût, avec beaucoup d’humour et dans un style parfois assez flamboyant car tout cela est souvent fort bien filmé. Plusieurs thèmes, le rôle prédominant des femmes, la drogue, l’homosexualité annoncent les œuvres de maturité à venir. Au final, une curiosité qui se regarde avec plaisir et que les nancéiens pourront trouver en DVD (TF1 vidéo, bonne copie) à la médiathèque de la manufacture.
Créée
le 22 juil. 2021
Critique lue 138 fois
D'autres avis sur Dans les ténèbres
Troisième film d'almodovar. Dans la veine de son premier film (Je n'ai pas vu le labyrinthe des passions) le film est extravagant, très libre dans l'esprit, toujours ce coté un peu bordélique et...
Par
le 11 mars 2020
1 j'aime
Ce qui est drôle c'est que j'ai vu ce film le lendemain des Anges du Péché de Bresson et que c'est exactement la même histoire. Une femme marginalisée, une repris de justice chez Bob, une prostituée...
le 28 oct. 2019
1 j'aime
Pour son troisième film, Pedro Almodóvar frappe fort. Sur une base de burla et d’anticléricalisme forcené, Dans les Ténèbres brosse de très beaux portraits de femmes animées par un désir qu’elles...
le 21 juin 2019
1 j'aime
Du même critique
Ce film inaugure la « période Mao » de Godard et son entrée dans l'anonymat du cinéma militant, dont il ne sortira que des années plus tard. Filmés sur fond noir (la photo et les couleurs sont...
Par
le 17 janv. 2017
10 j'aime
La prison est le sixième film réalisé par Bergman, alors quasiment inconnu, mais on peut considérer qu’il s’agit du premier « vrai » Bergman, puisque les cinq films précédents étaient des films de...
Par
le 25 mars 2020
9 j'aime
2
Finalement, c’est l’éternelle histoire de Roméo et Juliette. Ici, vraiment tout les sépare : leur mentalité, leur famille et, d’une manière qui s’avère radicale, l’exploitation capitaliste. Luigi...
Par
le 20 févr. 2020
8 j'aime