Il existe des films qui vous mettent la chair de poule ainsi que les larmes aux yeux. Je ne parle pas de films d’épouvante ou de mélodrames, même si ceux dont je parle peuvent bien-entendu se rattacher à ces genres. Je parle des films dont la mise en scène, la finesse d’écriture ou la justesse du jeu d’acteur vous font bouillir de l’intérieur et vous comblent de bonheur le temps d’une heure et demie. Un bonheur intense, quand bien même leur thème serait d’une dureté sans nom. Festen de Thomas Vinterberg a été un des premiers films à me faire ressentir cela. Ce n’a pas été le premier, mais dans ma logique cinéphilique, il occupe sans nul doute la première place et c’est pourquoi j’ai décidé de lui dédier ma première critique...


Lire la suite : http://miroirs.net/festen/

Miroirs
10
Écrit par

Créée

le 6 janv. 2016

Critique lue 248 fois

Miroirs

Écrit par

Critique lue 248 fois

D'autres avis sur Festen

Festen
Petitbarbu
8

L'important, c'est la famille.

Fever Ray - I'm not Done Pour son premier métrage dans le cadre du mouvement Dogme95, Vinterberg nous immerge dans un repas de famille bourgeois prenant place dans le manoir familial, isolé dans la...

le 22 août 2015

85 j'aime

9

Festen
Thieuthefirst
8

Recette pour un Festen (Critique en service commandé pour Hunky-Dory #03)

Avant toute chose Festen est un film déroutant sur le plan formel. En effet l'image tremblotte en permanence et présente un grain plus ou moins marqué tout au long du film (quand elle n'est pas...

le 24 oct. 2011

55 j'aime

11

Festen
Cmd
8

Le Roi se meurt

Je vais commencer par m'excuser. Comme ça si jamais il t'arrive quoi que ce soit, au moins, j'aurais tenté déjà de me faire pardonner mon offense. Au cas où tu ne l'aurais pas encore remarqué, je te...

Par

le 5 mars 2015

48 j'aime

9

Du même critique

Julien Donkey-Boy
Miroirs
8

La critique de Miroirs.net

Avant de découvrir Julien Donkey-Boy (1999), je ne connaissais de la filmographie d’Harmony Korine que Spring Breakers, et un court-métrage (Umshini Wam, avec les membres de Die Antwoord). Je le...

le 18 janv. 2016

3 j'aime

Le Fils de Saul
Miroirs
8

La critique de Miroirs.net

La critique française est quasi unanime pour dire à quel point Le Fils de Saul (László Nemes, 2015) est un film « choc », « essentiel », qui trouve la manière « juste » de filmer « l’irreprésentable...

le 18 janv. 2016

1 j'aime

Le Convoi de la peur
Miroirs
8

La critique de Miroirs.net

Je découvre Sorcerer (William Friedkin, 1977) cet été dans une petite salle parisienne. Je ne connais alors presque rien du réalisateur de French Connexion et de L’Exorciste, mais ce qui m’attire est...

le 18 janv. 2016

1 j'aime