Quelques mots sur ce (télé)film bancal qui n'a que peu de choses à dire.
Greenland "se laisse regarder" comme on peut le lire ou l'entendre de-ci de-là, mais cette succession de plans orangés qui pour la plupart suintent de testostérone, dérange un brin. 2020, c'est semble-t-il encore cet américain blanc "avec ses fêlures", sauvant femme et enfant (incapables de se débrouiller par eux-mêmes) d'un catastrophe planétaire inattendue.
Une coquille vide mal colorée, trop vite amenée et trop prévisible, donc bien vite oubliée.