La tumeur. Le mal du siècle. Dans Le temps qui reste, un film du prolifique François Ozon, il gangrène Romain, jeune photographe émérite. Car avant de zoomer sur nos attirances (Jeune et jolie, Une nouvelle amie) ou de s’empêtrer dans le fantastique (Ricky), ce réalisateur versatile a traité un sujet grave. Mais sans s’appesantir sur la douleur. Comme le médecin qui annonce brutalement ses trois mois de sursis au jeune homme, le récit va droit au but. A l’instar de Romain (Melvil Poupaud, parfait) qui vit sa carrière à cent à l’heure, il n’emprunte aucun détour.
Critique complète : http://critiquequantique.tumblr.com/post/103127072781/tu-meurs-temps-pis