Critiques de Les Vingt-Quatre Prunelles

Aurea
8

L'Institutrice

4 avril 1928, c'est la rentrée des classes quand Hisako Oishi, lumineuse Hideko Takamine, jeune institutrice fraîchement nommée, débarque sur cette petite île du Japon intérieur. Dans ce village de...

le 19 mai 2012

52 j'aime

44

philippequevillart
5

Un petit caillou dans un océan de bons sentiments

Malgré quelques qualités formelles indéniables, cette tranche de vie s’étendant sur trente années de l’histoire d’une petite communauté insulaire nippone, rythmée par des chants d’enfants...

le 2 déc. 2019

11 j'aime

10

Plume231
8

Un "Au revoir Mr. Chips" japonais, au féminin et en mieux...

Une oeuvre qui fait un peu penser à "Au revoir Mr. Chips" sauf qu'ici on est au Japon, que l'ellipse est plus habilement utilisée pour montrer le temps qui passe et ses conséquences inexorables et...

le 15 oct. 2013

9 j'aime

1

Boubakar
8

La femme au vélo

En 1928, dans la mer de Shodoshima, arrive une jeune institutrice, incarnée par Hideko Takamine, qui dénote de par ses déplacements à vélo de son domicile à l'école. Elle suscite l'admiration de de...

le 1 sept. 2022

5 j'aime

Abrom
10

J'ai envie de voir du Ozu maintenant.

Les films larmoyants, "tires larmes", ont cette caractéristique commune de constamment taper dans le faux, du moins en apparence. Le faux, cet ennemi de la qualité, qui gâche tout, le rabat joie de...

le 20 déc. 2021

5 j'aime

doumefer
6

Mievre

C'est un joli film, pas de doutes. Les sujets abordes: le pacifisme, l'enfance, etc Mais les douches lacrymales qui ponctuent le film, pour ne pas dire noient le film, ont eu raison de ma patience...

le 6 nov. 2013

3 j'aime

Koreyoshi
7

Critique de par Koreyoshi

C'est un beau mélodrame, apparemment très populaire au Japon. Je vais citer directement Tadao Sato : "A sa sortie, le film émeut profondément le public, tous âges confondus et quelles que soient les...

le 11 mars 2023

1 j'aime

Karloff
8

Critique de par Karloff

Film bouleversant, visuellement magnifique. Les 2h30 passent sans que l'on s'en rende compte. Les personnages sont touchants, le ton juste, la camera de Kinoshita toujours très sobre et sensible. Par...

le 7 janv. 2013

1 j'aime

E_Doq
7

Belle épopée mélodramatique

"24 prunelles" est un film vraiment triste et bouleversant se déroulant sur une durée de 20 ans, qui débute au milieu des années vingt et se termine au lendemain de la guerre en 1946. Kinoshita est...

le 25 janv. 2017