...le suis tapé, je regrette bien sûr, tout ça pour m'assurer que oui c'est bien une monstrueuse machine à Oscars, mais à un point devenu terrifiant, c'est littéralement Bradley Cooper qui se roule par terre en pleurant "donnez-le moi, donnez-le moi !!!". Mais le chef-d'oeuvre est extérieur au film, c'est ses interviews promos, où il répète qu'il a passé 6 ans (!!!) à apprendre à diriger, tout ça pour une séquence d'à peine 5mn, et, bon... pas besoin d'enfoncer le clou. + un moment surréaliste (j'essaierai de le retrouver) où il est... au bord des larmes (donc je n'exagérais pas !), lorsqu'on lui demande si Leonard Bernstein lui manque. Bref, c'est un ravagé comme seul Hollywood sait en produire, alliage de grotesque et d'angoisse, on ne sait pas trop s'il faut rire de gêne ou raser L.A.