J'ai beaucoup aimé l'atmosphère du film, sa photo élégante, ses personnages marginaux, cet univers des fleurs et des jardiniers, ainsi que la patte de Paul Schrader à l'écriture, aisément reconnaissable.
Mais la principale valeur ajoutée à mes yeux de "Master Gardener", c'est la délicieuse Quintessa Swindell, comédienne délicate et jeune femme superbe, que je découvrais et qui m'a envoûté au point de fermer les yeux sur les quelques défauts du film : une naïveté parfois excessive ; une seconde partie moins convaincante que la première ; une unique scène d'amour faussement érotique, avec notamment des patchs mammaires bien visibles à l'écran malgré la demi-obscurité.