Les jeux les plus épiques

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Skyrim est juste épique. C'est la raison d'être de ce jeu et c'est tout ce qu'il veut faire éprouver au joueur. Rarement la sensation d'incarner un héros salvateur aura été aussi grisante et étant parfois trop roleplay, j'en suis venu à refuser la moitié des quêtes secondaires inintéressantes du jeu car elles ne correspondaient pas à la portée épique de mon personnage.

Anéantir la Confrérie Noire, dévoiler au grand jour les complots des Conspirateurs, vaincre un Maître Vampire, empêcher la résurrection de la Reine Louve, purifier le temple d'une déesse déchue, libérer BordeCiel de la tyrannie impériale ça c'est dans mes cordes! Mais aller chercher l'épée de l’ancêtre dans les ruines maléfiques, le service à thé de la tante dans le cimetière maudit ou apporter une lettre à l'autre bout du pays, ça c'est un boulot pour les gardes de Blancherive ma bonne dame! :p

On en oublierait presque les Dragons avec toute cette générosité épique et pourtant l'apothéose héroïque du jeu se situe bien au dénouement de la quête principale où Bethesda fait enfin preuve d'une folie visuelle qui manquait à la direction artistique et donne l'impression au joueur de vivre le rêve de Conan le Barbare en personne.

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Lancer ni plus ni moins toutes les forces armées de l'univers dans une bataille désespérée pour sauver la Terre, ça suffit à faire exploser le compteur épique! A la manière de Mass Effect 2 et Dragon Age, c'est également l'aboutissement de l'aventure du joueur et sa capacité à avoir rallié toutes les ressources disponibles à travers les quêtes principales et secondaires.

La bataille spatiale devra malheureusement s'apprécier par le biais d'une cinématique pour rejoindre directement la violence du combat sur le sol terrier.

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L'assaut final qui est préparé depuis la première heure de jeu et représente l'aboutissement de l'expérience du joueur. Si cet épisode était perfectible sur bien des points narratifs, il avait au moins parfaitement réussi l'intensité épique de son final avec le poids des décisions du joueur et la rigueur de sa préparation durant l'aventure pouvant entrainer la survie comme la mort de la totalité de son équipage.

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La rescousse finale de la Citadelle et le combat en apesanteur alors que Sovereign déploie son immensité au fur et à mesure que le joueur se rapproche du sommet de la tour à la verticale.

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L'attaque du Géant sur le village, un affrontement qui intervient au moment propice après qu'une routine quotidienne se soit installée pour le joueur et qu'il ait pris le temps de s'attacher à sa maison. Toute la démesure épique du jeu est magnifiée dans ce passage et puis nom de dieu écoutez moi ce thème : https://www.youtube.com/watch?v=XiDI4GZMVF0&list=FL-n0bBaWn6eG1ufDSa-mMDA

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Les combats contre les géants, les séquences de plate forme dans les niveaux à la démesure titanesque avec en premier lieu la magnifique horloge du château vampire, et l'affrontement final contre Satan himself!

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Une bonne partie des combats de boss du jeu avec une préférence personnelle pour Volcania, le Spectre de Ganon et les sœurs Koume et Kotake. Si l'affrontement final est au départ décevant, il propose une bonne dose d'adrénaline épique lors de la dernière transformation de Ganon.

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La majorité des combats de boss du jeu, l'affrontement dans le ciel pour libérer le Poisson Rêve, euh Narisha et le combat final contre l'Avatar du Néant avec ses tonalités presque bibliques.

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Le combat final contre Ganon, l'affrontement à cheval sur la plaine d'Hyrule et le boss dragon dans le temple du Ciel.

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L'assaut de la Forge Stellaire constituant l'épreuve finale de notre chevalier Jedi et la dernière carte à jouer pour la galaxie afin d'empêcher la victoire des Sith. Parce que les Jedi sont décidément de gros branleurs, ils se contentent de rester monter la garde au hangar pendant que notre héros va décimer des rangs entiers de Sith.

On appréciera quand même les deux combats de boss dont l'avant dernier est même plus intense que le véritable affrontement final.

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La rébellion finale pour libérer City 17 culminant par l'affrontement direct contre les Tripodes en finissant par se demander le nombre de roquettes qu'il va falloir pour faire tomber ces saloperies.

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L'affrontement final du jeu rattrapant largement la médiocrité de celui d'Asylum. Ici Rocksteady laisse exploser la dimension chevaleresque du Dark Knight dans un combat visuellement impressionnant et frénétique.