Ce que j’aime particulièrement dans le travail d’Hélène Gaudy est cette écriture qui cherche sans arrêt. Je suis sensible autant à la forme que prend l’enquête qu’à sa résolution. Dans Un monde sans rivages, l’autrice explorait la quête insensée d’un voyage en ballon vers le Pôle Nord fait par des explorateurs à la fin du XIXe siècle. Dans Villa Zamir, elle partait à la recherche de l’envers d’une photographie réalisée au Cap Martin. Dans Archipels, ce n’est pas un voyage vers d’autres paysages, mais vers celui, plus intime, du père.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2024/09/23/archipels-helene-gaudy/