Les meilleurs comics de Spider-Man selon arnonaud

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La meilleure histoire de Spider-Man que j'ai lu. Vraiment excellent.
Et l'une des rares bonnes histoires que j'ai lu du héros en dehors de ces débuts dans les années 60...

- Histoire complète en un tome -

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Le Spider-Man des années 60, le duo Lee-Ditko, m'impressionne toujours autant par sa maîtrise. Certains trouveront ça vieillot, mais moi je trouve que ça n'a pas pris un ride et que c'est une lecture juste jouissive. C'est d'une excellente qualité et l'épisode avec les anti-araigné est juste parfait.

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Une douzaine d'épisodes absolument géniaux, le sommet du teen comics, le mariage le plus habile entre soap, problèmes d'ados et combats face à des méchants bariolés.
En plus cette intégrale contient quelques épisodes plus sombres qui sont vraiment parfaits.

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Excellent premier recueil. JMS caractérise Peter et Spidey à la perfection et livre de bons dialogues avec un bon humour, Romita Jr. est très efficace aux dessins avec des personnages expressifs et des bagarres puissantes.
Et tous les épisodes proposés sont très bons, en particulier le premier arc face à Morlun qui doit être une des meilleures histoires que j'ai pu lire de Spider-Man. Hyper intense, un vrai affrontement face à un vilain, extension de la mythologie du titre... Du très haut niveau.

- Point d'entrée -

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Beaucoup d'épisodes cultes dans cette intégrale : la fin, mythique, de l'arc face au Master Planner, un combat d'anthologie face au bouffon vert où l'on découvre son identité secrète, la révélation du visage de MJ avec le légendaire "face it tiger, you just hit the jackpot", la première apparition du Rhino...
Le seul bémol reste les épisodes un peu fade de la fin du run de Ditko, où celui-ci devient co-scénariste, et qui manquent vraiment d'idées convaincantes.

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Ce tome ne contient pas les tout débuts de Venom dessinés par McFarlane, mais s'intéresse à toute la période (entre 90 et 93) où Venom vit principalement dans les pages d'Amazing Spider-Man, sous la plume de David Michelinie, en temps qu'ennemi du tisseur et avant qu'il soit le héros de mini-séries. Le tome contient également les débuts de Carnage.

J'ai vraiment adoré ce tome. Les affrontements entre Spidey et Venom sont excellents, en particulier celui sur l'île déserte qui est tout bonnement génial. Les débuts de Carnage sont assez incroyables également, avec ce nouveau vilain surpuissant et beaucoup plus sombre, meurtrier et terrifiant que les vilains classiques de Spider-Man.

C'est fascinant de voir l'évolution et l'ascension du personnage de Venom. Michelinie est vraiment très bon au scénario, arrivant à écrire de longs épisodes d'affrontements trépidants et variés. Aux dessins, on a d'abord Erik Larsen qui est excellent et achève de définir graphiquement le personnage de Venom, ainsi que Mark Bagley très solide.

Le tome contient aussi toutes sortes d'histoires courtes sur Venom en back-up d'Annuals ou autres qui permettent de mieux expliquer ses débuts et participent à sa transition du statut de vilain à anti-héros.

C'est franchement d'excellents épisodes de Spider-Man à mon sens, et ils sont tops également pour ceux qui veulent comprendre pourquoi Venom et Carnage sont des personnages si appréciés.

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Excellente histoire grim & gritty de Spidey. De bonnes thématiques philosophiques et sociales, de bons dilemmes pour notre héros, pleins de situations intéressantes, des retournements de situation... C'est vraiment du tout bon pour ces deux petits arcs écrits par Peter David.

- ça peut se lire comme une histoire complète en un tome -

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Une mini-série qui propose l'idée suivante : à quoi ressemblerait les aventures de Spider-Man si il avait vieilli en temps réel depuis ses débuts en 1962 ? Chaque numéro s'intéresse à une décennie de la vie du tisseur, des années 60 aux années 2010, où le scénariste Chip Zdarsky essaye d'adapter les grandes histoires de chaque décade à un Peter Parker vieillissant.

C'est vraiment fait de manière très habile, avec beaucoup d'excellentes idées et de bonnes réinterprétations. C'est seulement dommage qu'il n'y ait pas plus de numéros, pour prendre d'avantage de temps pour développer les événements et cet univers Marvel alternatif. Par contre, malgré la place restreinte, Zdarsky arrive à bien développer les personnages et à donner du cœur à son histoire.

Aux dessins, on retrouve le vétéran Mark Bagley, qui connaît bien l'univers de Spidey. J'aurais préféré un style à la Marcos Martin/Javier Rodriguez sur ce type de série, mais le dessinateur reste efficace tout le long.

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Bel hommage aux années fac de Spidey et Peter. De bons affrontements avec les vilains classiques du tisseur, des relations entre les personnages super soignés, de bons dialogues, de superbes dessins... Dommage que Gwen et sa relation avec Peter ne soient au final pas un poil plus développée.

- Histoire complète en un tome -

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Deux arcs par Dan Slott très réussis dans ce run, le premier face au Spider-Slayer et au Scorpion, dans un affrontement riche en rebondissement, avec de bonnes situations, une bonne utilisation des personnages secondaires, de bons dessins de Caselli et surtout de vraies conséquences.

Et ensuite un arc en deux numéro illustré par Marcos Martin assez gigantesque, surtout pour la partie muette du premier numéro, vraiment magistrale de maîtrise dans sa narration. C'est une histoire plus sombre et désespérée, face au nouveau vilain Massacre, mais c'est vraiment superbement mené.

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Un bon petit team-up à travers le temps entre Spider-Man et Wolverine, et très facile d'accès pour les nouveaux lecteurs. C'est vraiment très bien écrit, très bien dessiné et très bien colorisé, avec quelques séquences très réussies, notamment pour Wolverine qui a pour lui la scène clé de l'album.

Mais Spider-Man n'est pas en reste puisqu'il est vraiment très bien caractérisé par Aaron qui semble avoir tout compris au personnage, que ce soit au niveau de son sentiment de culpabilité, ses responsabilités, son humour, ou son envie de donner du sens à son existence extraordinaire.

Ça part un peu en n'importe quoi à la fin du tome mais ça reste une mini-série qui vaut quand même sacrément le détour.

- Histoire complète en un tome -

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Second tome très réussi pour le Superior Spider-Man. Slott multiplie les arcs courts ce qui permet une belle variété de situations et de bien explorer le nouveau héros comme de le faire évoluer. En outre la galerie de personnages secondaires est réussie et les temps forts sont nombreux. Très bonne lecture.

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Après un début de run un peu mou, Nick Spencer nous offre son premier gros arc, avec le retour en grande pompes de Kraven le Chasseur, et c'est vraiment très réussi. C'est un bel hommage à la Dernière Chasse de Kraven (même si ça en fait peut-être un peu trop à ce niveau là) et ça offre une belle conclusion à la trilogie des gros arcs autour du vilain (Last Hunt, First Hunt et donc Hunted).

Tout n'est pas parfait et il y a un bon ventre mou au milieu, mais c'est plein de bonnes idées, le numéro sur le vilain de seconde zone Gibbon est absolument génial, et la conclusion de l'event est vraiment très réussie.

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Conclusion en apothéose du très long run de Dan Slott sur Spider-Man, avec un gros arc bien épique où Spider-Man doit faire face à son ennemi juré Norman Osborn, qui a décidé d'utiliser le symbiote Carnage pour devenir le surpuissant Red Goblin.

C'est franchement bien mené, surtout que c'est illustré par l'excellent Stuart Immonen, qui est toujours aussi doué.

Et tout à la fin du tome, on a un numéro d'adieu plus doux et poétique, où Slott retrouve pour l'occasion son compère Marcos Martin, lui aussi très doué mais dans un autre style de dessin, avec lequel il avait livré d'excellents épisodes vers le début de son run.

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Encore un bon tome pour Superior Spider-Man qui est vraiment une bonne période pour le tisseur. C'est toujours bourré d'idées intéressantes, avec une utilisation renouvelée des nombreux éléments de la mythologie du tisseur. On n'est pas dans du gros statut quo gonflant ou répétitif et ça fait vraiment du bien.

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Un mini-série dans un monde parallèle où Peter Parker est toujours marié et a eu une fille.

Très bonne histoire de Dan Slott, avec un parfum old-school, des personnages bien écrits (notamment un Spidey qui fait moins de blagues que d'habitude avec Slott, ce qui n'est pas un mal), pas mal de vilains qui passent faire coucou et une trame globalement très bien menée.

Franchement sympathique.

- Histoire complète en un tome -

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Les débuts de Spider-Man, où l'on comprend aisément comment le titre est devenu un succès.

- Point d'entrée -

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Une interprétation moderne et décompressée des origines de Spidey qui fonctionne très bien. Les modifications faites au récit original sont intéressantes, et la décompression permet une psychologie des personnages plus approfondie, des relations entre protagonistes plus finement décrites... Et puis les dialogues de Bendis fonctionnent toujours très bien.

- Point d'entrée -

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Une année plutôt importante pour le tisseur, puisqu'elle commence avec l'histoire courte culte "le garçon qui collectionne Spider-Man", avant de nous offrir une bonne partie de la saga du costume symbiote !

En effet, au cours de l'event Secret Wars de 84, le tisseur hérite d'un tout nouveau costume noir, plutôt classe, qui semble très chouette au début mais qui devient de plus en plus bizarre jusqu'à l'incroyable épisode #258 où l'on apprend que c'est un symbiote (et une fois la créature neutralisée, Peter doit rentrer chez lui avec le fameux costume où il a un sac en papier en guise de masque). Dans cette intégrale, on a aussi une sacré révélation autour de M-J, la relation de Spidey avec Black Cat qui continue, une tension qui se créé entre Peter et Tante May, ainsi que la suite de la saga autour du Hobgoblin et de la Rose.

C'est au final assez inégal, mais ça reste dans l'ensemble très agréable à lire, et il y a quelques numéros excellents et plutôt cultes.

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Le style peint de Gabriele Dell'Otto est magnifique (toute la BD est dans le même style que la couverture si vous voulez vous faire une idée), et le scénar' de Waid et Robinson est plein de bonnes idées : Spider-Man se la joue James Bond autour de la Méditerranée, se découvre une sœur cachée et affronte le Caïd. En outre, la caractérisation de Peter Parker est parfaite.

Mais la conclusion sans saveur, sans grand moment dramatique, en forme de retour au statut-quo, rend cette histoire assez dispensable. Mais ça reste une lecture sympathique toutefois.

- Histoire complète en un tome -

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Les débuts du spider-Man supérieur. Un récit bien mené par Dan Slott, avec pleins de pistes prometteuses et de passages amusants.

- Point d'entrée -

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Début du run de Dan Slott sur Spider-Man.

C'est un tome intéressant pour le nouveau statut-quo qui fait avancer le personnage dans une direction inédite, utilisant enfin le côté petit génie de Parker, et qui offre pleins de nouvelles possibilités d'histoires... Mais l'intrigue super-héroïque face au Hobgoblin et au Caïd manque d'enjeux et de rebondissements palpitants.

J'ai eu du mal à me sentir très concerné par tout ça, surtout que c'est combiné au Spider-Man un peu lourdaud de Slott et Ramos et à une intrigue un peu trop bavarde pour pas grand chose.

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Juste avant de mourir, Wolverine a envoyé un message à Spider-Man, lui demandant de le remplacer... en tant que professeur pour les jeunes mutants de l'institut Jean Grey !

Une mini-série qui se veut avant tout très fun et humoristique, où Spider-Man galère à jouer les professeurs face à des élèves qui n'ont pas vraiment confiance en lui. Et surtout, tout ce beau monde va, bien entendu, se retrouver dans des aventures improbables où vont s'allier les adversaires du tisseur et ceux des X-Men.

Franchement sympa quand on veux lire une petite mini-série légère, même si on ne connaît pas les élèves mutants, puisqu'ils deviennent rapidement attachants. Et l'humour de la série est plutôt efficace.

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Retour à l'époque de la saga du symbiote, avec Peter David au scénario et Greg Land aux dessins, dans une mini-série centré autour de Mysterio.

C'est très sympa de retrouver l'ambiance de cette ère des comics Spider-Man, notamment la dynamique entre le tisseur et Black Cat qui a un rôle important dans cette histoire. Et le scénariste mène vraiment très bien son récit, avec pas mal de bonnes idées, hélas, il n'arrive pas à lui donner vraiment de l'impact au moment de sa conclusion, ce qui donne l'impression d'avoir lu quelque chose d'un poil dispensable.

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Un récit se déroulant en parallèle des premiers épisodes de Spider-Man qui est vraiment très sympathique. Ramon K. Perez et Dan Slott font tout leur possible pour faire un mélange d'hommage aux épisodes originaux et de modernité et c'est vraiment très bon. Seule la conclusion de la mini arrive un peu brusquement et est un peu étrange.

- Histoire complète en un tome -

Annotation :

Bon, comme je le pensais, c'est moins nul que ce que j'avais estimé à la première lecture. Après, ce n'est pas non plus la grande réussite déclarée à l'époque. C'est une histoire sympa de Spider-Man, avec du grand spectacle, pleins de personnages convoqués, et un concept de base sympa, mais pas plus.
Il manque un vrai travail sur les personnages, de vrais challenges pour Spidey et de vrais adversaires... Mais bon, ça reste une lecture sympathique et puis c'est pas trop moche si on aime le style de Ramos.

- ça peut se lire comme une histoire complète en un tome -

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C'est pas l'aventure la plus inoubliable de Spider-Man, loin de là, mais c'est sympa et Peter Parker est particulièrement bien écrit.

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Après la fin du run de Dan Slott, c'est le scénariste Nick Spencer qui prend le relais. La vie de Peter Parker est un peu chamboulée, mais il se passe surtout quelque chose au niveau de l'entourage de Peter qui devrait faire plaisir à beaucoup de fans.

A part ça, ce tome se focalise surtout sur un arc où Peter Parker est séparé de Spider-Man, un concept un peu idiot mais en même temps assez fun, qui permet pas mal de situations amusantes. L'avantage c'est que Nick Spencer est un scénariste qui a un très bon humour et que les dessins de Ryan Ottley sont franchement très beaux et vraiment parfait pour représenter l'univers du tisseur. N'oublions pas non plus la colo de Laura Martin, toujours très efficace.

Mais c'est franchement pas l'aventure la plus inoubliable du tisseur.

Annotation :

Nouveau statut quo pour Spider-Man. C'est pas désagréable, en particulier quand c'est dessiné par Bachalo, mais ça manque un brin d'ambition.
Le rétropédalage de la vie de Peter est compensé par l'arrivée de nouveaux vilains/allié/statut quo au Bugle qui permettent à l'univers du tisseur de quand même aller de l'avant.

- Point d'entrée -

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Le tome commence plutôt fort avec des numéros qui s'intéressent à Mysterio, avec toute une explication de son histoire, et au nouveau vilain du tisseur dont on apprend enfin le nom.

Et ensuite on part sur un arc plus classique avec plusieurs méchantes qui s'allient autour de Beetle, un des personnages que Spencer écrivait dans Superior Foes of Spider-Man. L'avantage c'est qu'on retrouve un peu l'esprit et l'humour de cette série, surtout que l'arc s'intéresse également beaucoup au personnage de Boomerang. Par contre, on se paye Kev Walker aux dessins. Et si il n'est pas mauvais en soi, le niveau descend quand même d'un cran par rapport à Ottley et Ramos dans les précédents arcs.

Au final, après la fulgurance que fut Hunted, on retrouve le niveau assez moyen du run de Spencer.