Les meilleurs films japonais selon Raider55

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Le plus dépaysant des films de Kurosawa.
Remake sensible qui met en valeur les subtilités de la relation entre 2 hommes pourtant très différents.

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Film d'aventures dans le XVIème siècle japonais, l'oeuvre garde l'ambition d'Akira Kurosawa intacte.
Un chef d'oeuvre d'humanisme et de mise en scène.

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Film d'une rare sensibilité porté à merveille par Toshiro Mifune, dans un rôle plus inhabituel et moins grandiloquent.
Kurosawa se transforme en médecin des âmes.

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Des quelques films d'Ozu que j'ai vus, je retiens celui-ci. Il reprend tout ce que j'apprécie dans la littérature japonaise :
- la poésie mélancolique,
- la subtilité des nuances émotionnelles,
- le questionnement implicite des sujets abordés, à commencer par la vertu des traditions ou la construction des individus.
Un belle alternative à Kurosawa pour comprendre le Japon d'hier et d'aujourd'hui.

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Un mythe du cinéma de samourai et au-delà du Japon.
Difficile de ne pas y trouver une lecture de l'effondrement du pays et de ses traditions suite à la 2nde guerre mondiale.
Un film sur la résistance à un pouvoir bien établi dont les valeurs ne sont plus que "façade".

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30 ans après Le Chateau de l'Araignée, Kurosawa revisite les tourments de l'âme dans une merveille de film qui allie scènes intérieures et extérieures.

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Une œuvre incroyable dans sa justesse - pour poser les personnages - mais aussi dans son humanisme. Ainsi entre film fantastique et parcours d'apprentissage, Mizoguchi nous propose un récit intemporel.

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Culte et classique.
Ma critique bluffée par le réalisateur Ozu dont je suis devenu fan : https://www.senscritique.com/film/fleurs_d_equinoxe/critique/247840436

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De la corruption, durant la vie et à la mort.
Kurosawa inspiré et d'une tristesse infinie.

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Le plus prestigieux des films d'Akira Kurosawa. Fresque historique colossale. L'œuvre d'une vie.

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Un film sur l'incommunicabilité, la résilience et surtout sur notre décision - ou pas - de piloter notre propre vie.
Ma critique éblouie : https://www.senscritique.com/film/drive_my_car/critique/253414262

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Les pieds de nez et les moues de l'enfance savent être charmantes sous la caméra d'Ozu !
Ma critique enjouée : https://www.senscritique.com/film/bonjour/critique/241844156

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Si Rébellion ne revêt pas la même dramaturgie que Harakiri, Kobayashi démontre une fois encore son talent de conteur et surtout de critique de l'histoire et de la société japonaises.
Une référence.

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Un film composé autour de 4 contes, emprunts de fantastique et de poésie.
Même s'il n'égale pas Les Contes de la lune vague après la pluie, il n'en demeure pas moins un régal pour les amateurs des oeuvres de la Toho.

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Ozu tel qu'en lui même pour un testament poétique et sociétal.
Ma critique impressionnée : https://www.senscritique.com/film/le_gout_du_sake/critique/241755598

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Le théâtre Nô au service de celui de Shakespeare. Délicieux mélange qui démontre la créativité de Kurosawa.

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Mi conte horrifique, mi critique de la société humaine et de ses travers, Onibaba - grâce à l'inspiration du théâtre de Nö - transporte les spectateurs avec bien peu d'effets.

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Le thème de l'enfance est cette fois-ci additionné à la critique et à la déconstruction des préjugés du spectateur.
De plus le réalisateur propose une oeuvre magnifiquement construite.
Bref subtile comme souvent et travaillé comme rarement.

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Le classique des classiques avec une histoire hollywoodienne...
L'acteur fétiche du réalisateur - Toshiro Mifune - a son apogée.

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"Une paix injuste vaut mieux qu'une guerre juste".
Et pour cause, le récit est celui de celles et ceux - qui présents à Hiroshima en 1945 - souffriront jusqu'à leur mort (précipitée) des effets secondaires de la bombe atomique.
Un film poignant et magnifiquement joué.

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L'humanisme d'Ozu confère une bienveillance invétérée envers les protagonistes de ses films. Ainsi, même une oeuvre endeuillée possède une grâce inattendue.
Magnifique et émouvant.

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Le film qui définit clairement le style Ozu post 2nde GM et qui sera ensuite systématiquement repris : plans fixes, scènes d'intérieur, focalisation sur le rail (comme miroir de la modernité) et surtout le thème du changement. Celui qui fracture au Japon ancienne et nouvelle génération.

Annotation :

Film de cape et d'épée, pardon Chanbara pour les spécialistes
mais surtout comédie dramatique, pleine d'humour et de propos au 2nd degré.

Annotation :

Une œuvre subtile sur la condition de la femme japonaise d'après guerre, sur fond de reconstruction du pays et de confrontation entre modernité et tradition.
Emouvant.

Annotation :

Comédie dramatique.
Film d'une étrange poésie. Entre mélancolie et policier.
Bref un Takeshi Kitano.

Annotation :

Culte et classique.
A l'époque charnière des premières réalisations scénarisées du cinéma parlant, Mizoguchi dresse un portrait humaniste du sort des geishas et sans concession pour le comportement des hommes.
Le tout avec une réalisation sobre mais déjà talentueuse (travelling, gros plan...).