Les meilleurs jeux vidéo de 2017 selon Frakkazak

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Mon premier Zelda, le jeu qui m'a poussé a acheter une Switch avec tout le bien que j'en entends depuis 4 ans, un jeu qui en un si court laps de temps a déjà fait des émules dans tous les sens, bouleversant la conception de monde ouvert. Et après une grosse centaine d'heures à parcourir les plaines, déserts et montagnes d'Hyrule, je ne peux que me ranger dans les rangs nombreux des fans. Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas autant immergé dans un monde, de façon si organique et grisante. Tout a déjà été dit sur BotW, je ne vais donc pas m'étaler plus que ça. C'est une merveille, un monument qui mérite amplement sa place au panthéon et qui, s'il n'est pas exempt de quelques défauts mineurs, aura tôt fait d'amadouer n'importe quelle personne posant ses mains dessus.

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De la même trempe qu'Edith Finch, en plus long mais en plus touchant également. Un voyage dans le passé de Mae que je ne peux que vous conseiller.

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Deux heures de pur bonheur : un jeu intelligent qui subjugue sa narration par son gameplay.

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Entre visual novel et Blood Bowl, le jeu vous mettra rapidemment face à des dilemmes éreintants. La musique est un régal, la DA également. Vivement Hadès.

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Quand Arkane s'attaque à l'espace, on obtient un immersive sim de grande qualité, qui sait rester sobre quand il le faut. Je n'en attendais rien et l'ai fait sur le tard, je ne suis pas déçu du voyage.

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Mis à part le premier épisode GameBoy que j'avais pu terminé, je n'ai quasiment jamais touché à un Mario auparavant, malgré que que je connaisse les tenants et les aboutissants d'une bonne partie des épisodes tant sa philosophie de game design fait cas d'école. C'est donc avec pas mal d'attentes que je me suis attaqué à Odyssey, et clairement, il n'y a aucune déception. Le jeu est extrêmement riche, que ce soit dans son contenu ou dans son gameplay. On a d'un côté une bonne douzaine de mondes, proposant des activités variées dans des décors qui le sont tout autant, et de l'autre, une base de mouvement simple, mais dont l'étendue des possibilités originalement entrevue ne fait que s'élargir au fur et à mesure que l'on avance dans notre collecte de lunes. Exemple parfait de l'adage "easy to handle, hard to master", Odyssey renouvelle sans cesse ses challenges, jusqu'à un contenu endgame colossal qui mettra parfois vos compétences à rude épreuve, testant sans cesse ce que vous avez appris jusque là. Et en bon complétioniste que je suis, j'ai évidemment collecté les 860 lunes qui sont proposées, et ce sans jamais ressentir de sensation de grind. Une leçon de plateforming et de level design, que seule viendra entacher l'insipidité de l'univers esthétique Mario.

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Un gameplay qui se renouvelle sans cesse pour un jeu dont la narration est prenante. Très bonne surprise.

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Pas vraiment un jeu, au vu de son gameplay ultra simpliste, mais quelle ambiance ! Fait en une journée non stop, j'en suis ressorti fourbu et la tête bien remplie.

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Everything n'est pas un jeu, c'est un essai philosophique, une escapade étrange et inattendue. Alors que je le lançais en pensant passer trente minutes dessus, j'ai raccroché la manette quatre heures plus tard. Quatre heures où je n'ai rien fait, où j'ai incarné tour à tour chevaux, grains de sable, atomes, ambulances, galaxies et continents. Quatre heures où j'ai lancé déambuler sans but, où j'ai danser en compagnie de roseaux et de trompettes, où je me suis transformé en planète naine ou en girafe. Quatre heures où je suis tombé sur ces enregistrements audio empruntant du stoïcisme, à divers courants de pensée orientaux et à l'existentialisme, interrogeant le non-joueur sur ce que l'on définit comme une chose, ce que l'on définit comme toutes choses et comment est défini cette définition. Everything ne vous demande pas de jouer, puisqu'il n'y a fondamentalement rien à faire, il vous demande d'arrêter pour un temps ce que vous faites. Que vous soyez là ou non, Everything se déroulera (via le mode Autoplay, activé par défaut).

Si vous êtes à la recherche d'une expérience unique alliant avec excellence son propos et son ludisme, et que le trailer vous intrigue, profitez-en, échappez vous. Je finirais par une citation d'Alan Watts, narrateur du jeu:

"The only way to make sense out of change is to plunge into it, move with it, and join the dance."

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Il arrive à se démarque de la palanquée d'actionner en monde ouvert par son gameplay fendard et son lore riche et intéressant (pas pour son histoire de série B).

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Le retour du point & click à l'ancienne. C'est dans les vieilles soupes qu'on fait les meilleures peaux (véridique).

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Une bien belle entrée dans la saga Yakuza que ce remake. Un scénar noir et bien réalisé, vite éclipsé par des à côtés démesurément nombreux.

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Les jeux de mon enfance se refont une beauté, et c'est du tout bon.

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Un retour au source pour la saga également, qu'importe la vue FPS. C'est RE 1 mis au goût du jour.

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Un deuxième épisode géant de South Park, donc drôle, avec un gameplay amélioré par rapport au premier. Nickel, m'voyez.

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Cf critique

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Petit puzzle-game dont on a fait le tour en une heure, Gorogoa n'en est pas moins une perle d'inventivité. A partir d'une mécanique simple de déplacement de cases, on naviguera à travers différents tableaux, et à travers la vie de notre personnage, meurtri par sa quête de connaissance. Trouvé pour la modique somme de 5€, ça en valait clairement le détour. Fluide et ingénieux, et doté d'une jolie patte graphique.

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Enième pirouette scénaristique de Nomura avant de se lancer dans la clôture de la (première?) trilogie. Si ce qu'il raconte sur ses 2-3 heures de temps n'est pas inintéressant et se pare (enfin) d'une superbe mise en scène, le jeu est avant tout une démo technique, une sorte de proto de ce que sera KH3. Et si visuellement on frôle l'uncanny valley sur les personnages (Mickey est dégueulasse), ça envoie du très lourd dès que l'on est en combat, Aqua virevoltant au milieu d'effets pyrotechniques de toute beauté, de décors chiadés, et d'ennemis menaçants. Un bien beau teaser.

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Sympathique platformer 3D en mondes semi-ouverts, A Hat in Time peine à dérouler une véritable identité visuelle tant tout semble téléphoné, vu et revu. Heureusement, le gameplay tient bien la route et se renouvelle assez pour rendre la courte aventure agréable manette en main. Le potentiel est là, mais il manque cette petite finition qui ferait rentrer le titre dans la cour des grands.

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15 Heures

C'est fun, intuitif, challengeant. Ca en fait un très bon platformer dans la lignée de Super Meat Boy ou Celeste. Seulement c'est assez moche et la musique tend à taper sur le système, ce qui fait qu'on a pas envie de s'y replonger tous les jours et que je ne suis pas allé jusqu'au bout. La forme déssert malheureusement le fond.

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Très court mais très dense, avec encore une fois un savoir faire dans le level design qui fait plaisir.

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Contenu famélique pour un jeu toujours aussi instantané dans sa prise en main.

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J'ai bien aimé moi, n'en déplaise à l'avis général. Ca m'a un peu laissé sur ma faim, et ça n'arrive clairement pas à la cheville des trois premiers, mais j'ai bien aimé.

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Après avoir fait de Sekiro mon GOTY 2019 et retourné Bloodborne dans tous les sens, je cherchais un ersatz de From Software. Si Nioh n'est pas tout à fait un Soulsborne, sa formule s'en rapproche et en fait un cousin germain. La prise en main est agréable, mais également beaucoup moins perfectionné que chez FS. Le bestiaire est assez pauvre et les environnements pas folichons, mais il y a quand même une DA qui fonctionne, malgré une histoire soporifique.
Ca fait le taf sans atteindre de sommets.

Annotation :

Le faux renouveau de la licence, je suis tombé dans le panneau (6 mois plus tard tout de même, faut pas déconner). Après c'est pas moche, et les nouveautés sont tout de même rafraîchissantes, mais on retrouve vite nos repères Ubi, et on en vient vite à s'emmerder.

Annotation :

L'épisode de trop, j'aurais dû m'arrêter sur la très belle conclusion du 4. Après ça reste agréable à jouer tout de même.