Critiques de Bird

FirstClass1
4

L'oiseau sans elle

La réalisatrice Andrea Arnold, par son langage cinématographique, fait d'elle une représentante du réalisme social. Aussi elle choisit d'introduire dans son dernier film une certaine fantaisie, pas...

le 1 janv. 2025

48 j'aime

2

Yoshii
8

Is it too real for ya ?

C’est au son des notes punk et rageuses de Fontaine D.C qu’Andrea Arnold nous invite à entrer dans l’univers déglingué de Bailey, gamine de 12 ans que l’innocence a quitté depuis bien longtemps...

le 8 janv. 2025

34 j'aime

4

Sergent_Pepper
7

Le toit et l’oiseau

Après s’être offert un détour par le documentaire (Cow, en 2022) et la série, la cinéaste britanique revient au long métrage, presque dix ans après son dernier opus, l’aventure outre Atlantique...

le 21 janv. 2025

20 j'aime

1

Moizi
8

Ken Loach s'il n'était pas vieux et rincé

Andrea Arnold est une réalisatrice avec qui il faut compter. Bird est un film incroyable, il arrive à la fois à s'inscrire dans une réalité sociale dure, tangible, avec limite un côté naturaliste et...

le 9 janv. 2025

14 j'aime

3

cadreum
9

Le fantastique en solution au réel

Andrea Arnold s'ancre dans le réalisme social pour scruter, comme à son habitude, la rudesse et la beauté des classes populaires, avec une caméra qui respire l’immédiateté et la sensibilité en nous...

le 29 déc. 2024

11 j'aime

Cinephile-doux
7

Des oiseaux petits et gros

Le Bird d'Andrea Arnold ne deviendra peut-être pas aussi célèbre que le jazzman éponyme du long-métrage de Clint Eastwood mais il a des arguments à faire valoir et, en premier lieu, celui d'être...

le 27 mai 2024

11 j'aime

bougnat44
5

Des oiseaux et des hommes

Voici un film typique de festival où les spectateurs et critiques bienveillants verront un film humaniste, original, inclusif, surréaliste, sur Bailey, métisse androgyne, 12 ans, passant de l’enfance...

le 28 oct. 2024

8 j'aime

Azur-Uno
8

Leurs enfants avec eux

Par son 5ème long-métrage, je découvre avec Bird, et je dois dire non sans un certain bonheur, le cinéma de la réalisatrice anglaise Andrea Arnold, habituée des récompenses et des nominations, et...

le 11 janv. 2025

4 j'aime

3

clara4000
6

déçue

Sortie de salle mitigée : impression d’être passé à côté de quelque chose, comme si le film n’arrivait pas à vraiment nous embarquer. Difficile de s’attacher au personnage de Bailey, sans trop...

le 9 janv. 2025

4 j'aime

mymp
6

Le règne animal 2

À la marge. C’est ce qui, dès ses débuts il y a presque trente ans déjà, a intéressé Andrea Arnold. Des personnages à la marge. De la légalité (Jackie dans Red road), des conventions (Hetty dans...

Par

le 7 janv. 2025

3 j'aime