Critiques de La Marque du tueur

Chaiev
8

Critique de par Chaiev

Plusieurs éléments contribuent à faire du film un objet abstrait, image mentale d'un monde irréel, archétype structurel et structuré d'un genre codé : le film de yakuza. Pour une fois, Suzuki, le...

le 29 juin 2010

33 j'aime

9

drélium
8

Critique de par drélium

Gigantesque expérience Suzukienne tout en beauté et en décalage, noyau du polar moderne, porté par un esthétisme à la croisée du minimalisme, du surréalisme, de la folie japonaise et d'une...

le 17 juin 2011

28 j'aime

7

IllitchD
9

Critique de par IllitchD

Seijun Suzuki est une institution cinématographique à lui tout seul. Un cinéaste qui a fait ses classes dans les célèbres Studios de la Nikkatsu, lesquels devaient quelques années plus tard le...

le 29 oct. 2012

10 j'aime

BaNDiNi
9

Critique de par BaNDiNi

Un film de yakusa qui méprise et se moque des codes du genre et qui a valu à son réalisateur, Seijun Suzuki, de se faire évincer du studio Nikkatsu... L'étrange Joe Shishido parodie une sorte de...

le 14 mars 2011

10 j'aime

OrangeApple
9

Le serpent dans le sein

Faut quand même que je dise, en guise de préambule, que les serpents dans les seins, ceux qui mordent la main qui les nourrit, artistes ou pas, ça me fait craquer. Et lorsqu’en plus, artistes ils le...

le 19 févr. 2017

5 j'aime

10

Alligator
3

Critique de par Alligator

Juillet 2009: Non, désolé, mais c'est un non massif. Au bout de 10 minutes de film, je n'avais toujours rien compris à cette histoire écrite de façon très étrange avec de nombreuses ellipses, trop...

le 16 mars 2013

5 j'aime

1

magyalmar
4

Boire ou occire, il faut choisir

Aïe, ouille, aïe. Non mais quel bordel. Même si on voit se dessiner très lentement l'idée directrice du film, qui explore l'esprit torturé d'un tueur professionnel, "La marque du tueur" reste...

le 9 août 2017

3 j'aime

YgorParizel
6

Critique de par Ygor Parizel

La première heure de ce film ne manque pas d'intérêt et de qualités, malheureusement la dernière partie est grotesque. On est étonné par le ton de cette histoire de tueurs à gages, la façon de...

le 16 janv. 2017

3 j'aime

philippequevillart
9

L'art d'être number one!

Quand au bout d’un ¼ d’heure on a pris conscience que ce n’est pas dans la narration qu’il va falloir diriger son attention dans ce polar hyper visuel, structuré comme un jeu d’ellipses, on entre...

le 1 juin 2018

2 j'aime

Bestiol
7

Grandeur et misère des assassins.

Eh oui, les assassins aussi se font assassiner, surtout quand ils sont dans le top 5. Ce qui reste du film une fois visionné, c’est la succession de plans d’une très grande beauté formelle, souvenir...

le 7 août 2014

2 j'aime