Grandeur et misère des assassins.
Eh oui, les assassins aussi se font assassiner, surtout quand ils sont dans le top 5.
Ce qui reste du film une fois visionné, c’est la succession de plans d’une très grande beauté formelle, souvenir aidé par les ellipses très abruptes : visages de femmes, papillons et phalènes, surimpressions de motifs (de papillons). Ce qui ne veut pas dire que le scénario soit mal fichu, et il réserve quelques amusantes méthodes pour assassiner son prochain.
Ah, et moi j’aime bien l’idée d’un film où un pare-brise n'exploserait jamais quand on tire dessus à bout portant (plexiglas me suggère mon voisin).