Critiques de La Plus Précieuse des Marchandises

Et si l’on allait chercher la lueur restante dans les pages les plus sombres de l’Histoire ? En adaptant le conte de Jean-Claude Grumberg, Michel Hazanavicius aborde le sujet le plus difficile qui...

A la fin d'une œuvre qui, une heure vingt durant, laisse le cœur en miettes, la voix chevrotante et bouleversante de Jean-Louis Trintignant nous indique que tout cela, finalement, n'est pas réel et...

Sérieusement, comment est-ce possible?Fraude, faux conte, bien que l’on y retrouve tous les artifices du conte avec « il était une fois », un narrateur, une présentation : un pauvre bûcheron et une...

Grumberg choisit la fable et Hazanavicius l'animation pour aborder la dés.humanisation, et ainsi transcender les limites de sa représentation. La simplicité apparente de la forme, qu’il s’agisse de...

Comment décemment peut-on dire du mal de La plus précieuse des marchandises ? L'histoire est tragique, oui, mais elle ne peut pas être autre, eu égard au contexte. La représentation de la Shoah, même...

On avait déjà mouillé de larmes les pages du (très court) roman éponyme, dont les 100 petites pages cherchent (et trouvent) l'humanité, l'amour désintéressé, la préciosité de la vie, dans les plus...

Il est rare, voire impossible prétendais-je, de ne pas être déçu par l'adaptation d'un livre qu'on a aimé. Et le livre de Jean-Claude Grumberg je l'ai vraiment beaucoup aimé. J'avais eu la formidable...

Je dirais que :- J'ai trouvé le dessin majoritairement laid, triste, lugubre, sinistre. C'est surtout vrai pour les visages des personnages. Les lapins, la biquette, un oiseau, les peupliers au...

Michel Hazanavicius fait clairement partie de ces cinéastes qui ne restent jamais dans leur zone de confort et savent se renouveler sans cesse (quitte à se mettre en "danger" artistiquement parlant),...

Émouvant, poignant cet animé qui raconte l'holocauste par le prisme d'une femme prête à tout pour sauver son enfant miraculeux nous prend aux tripes. Le train, symbole de vie et de mort reste un...