Critiques de Une femme douce

Jduvi
8

La femme-énigme

Les obsessions sont un puissant facteur artistique. Pourquoi Bresson est-il à ce point obsédé par les poignées de porte et par les mains ? Quelle que soit la réponse, cette obsession concourt à créer...

le 20 juin 2020

5 j'aime

Plume231
4

Quand le spectateur est aussi insensible devant un Bresson qu'un acteur bressonien !!!

Avec le style très très particulier de Robert Bresson, avec moi soit ça passe totalement et on peut crier avec enthousiasme au grand film voir même au chef d'oeuvre ("Un Condamné à mort s'est...

le 21 janv. 2014

4 j'aime

5

Maqroll
9

Critique de par Maqroll

Un film de Bresson est toujours une expérience qui nécessite du spectateur une immersion dans un monde à part. Une femme douce ne fait pas exception puisqu’ici, l’immersion est instantanée avec le...

le 18 mars 2014

2 j'aime

2

stebbins
7

Une certaine idée du modèle

Un cinéma de l'aridité et des émotions enfouies, en somme un cinéma de pur cinéma, à savoir un Septième Art rejetant toute forme de dramaturgie théâtrale, un Septième Art du non-acteur et du modèle...

le 20 sept. 2015

1 j'aime

EricDebarnot
7

Une nouvelle blessure

"Une Femme Douce" tranche dans l'exceptionnelle filmographie de Bresson par son étrange douceur, qui témoigne de la volonté du grand réalisateur de se noyer pour une fois dans une songerie...

le 4 nov. 2015

1 j'aime

Jeremy_Coifman
7

Critique de par Jeremy Coifman

La direction d'acteurs m'a quelque fois sorti du film, mais la tragédie de cette femme incomprise se révèle bouleversante. Le mari, avant ou après la mort de sa femme, cherche autant à se justifier...

le 13 nov. 2013

1 j'aime

2

arnanue
4

Une chambre en ville

Ne connaissant le cinéma de Bresson que de nom, j'ai profité de la ressortie en version restaurée d'"une femme douce", film de 1969, pour découvrir ce réalisateur. Adapté d'une nouvelle de...

le 11 nov. 2013

1 j'aime

Hunkarbegendi
6

Critique de par Hunkarbegendi

Je ne juge pas ici le film en tant qu'adaptation d'une nouvelle de Dostoievki (La Douce), car je ne l'ai pas encore lu (mais ça ne saurait tarder). Je le juge en tant que tel. Car sans avoir lu la...

le 20 nov. 2023

renardquif
9

Critique de par renardquif

-c'est un très beau film, c'est le premier film en couleurs de Bresson et je crois qu'il avait vraiment besoin de passer à la couleur parce que ses deux derniers films en noir et blanc sont vraiment...

le 1 févr. 2020

Don-Droogie
8

SOUVENIRS D’UN AMOUR INCONNU

Lui (Guy Frangin) est en deuil. Elle (Dominique Sanda) est morte. Il aurait dû l’être avant son suicide, il n’a jamais su la connaître. La méthode bressonienne s’adapte parfaitement à ce récit en...

le 31 oct. 2023