Ma Batcave

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Compile les travaux de Neal Adams de novembre 1969 à avril 1971, un auteur qui illustrera à merveille les récits de Denny O'Neil et Frank Robbins. Imprime le ton caractéristique du début des années 70 comme personne d'autre.

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Pour le numéro 400 et le 30e anniversaire de Batman, les éditeurs de DC Comics lui créent un nouvel ennemi.

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Premier numéro du magazine Batman signé par le légendaire Denny O'Neil. Un récit original situé à La Nouvelle-Orléans qui profite pleinement du décor et du folklore local.

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Un numéro assez emblématique de cette période 1969-1970 où le personnage de Batman est profondément réécrit par Denny O'Neil. Les enquêtes deviennent plus sombres, les antagonistes plus cyniques.

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La ballade irlandaise de Batman au pays des légendes celtiques.

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Compile une série d'histoires publiées entre 1971-1972 puis 1978-1979 autour de la relation complexe entre Batman et Râ's al-Ghûl, avec en toile de fond la romance avec sa fille Talia.

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Denny O'Neil réécrit l'antagonisme entre Batman et le Joker. A partir de cet épisode le Joker devient un favori des lecteurs.

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Un des meilleurs numéros des années 1970. Première apparition de Leslie Thompkins, la femme qui a recueilli Bruce Wayne après le meurtre de ses parents.

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Batman est déclaré mort et tous les malfrats de Gotham et d'ailleurs veulent s'attribuer l'honneur de son meurtre. Au cours d'une audition menée en grandes pompes par Râ's al-Ghûl et Double-Face, chacun donnera sa version des faits.

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Un régal, dans le pur style des années 1970's avec du très grand Marshall Rogers au dessin. Cette série introduit de nouveaux personnages très convaincants (Silver St. Cloud, Rupert Thorne, Hugo Strange, Clayface III), Englehart propose avec 'Strange Apparitions' quelques uns des meilleurs épisodes des années 70.

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Compilation des numéros écrits par Marv Wolfman, principalement entre 1980 et 1981, avec d'autres passages récurrents en 1983 et 1989.

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L'album qui dépoussière un personnage vieux de plus de quarante ans et donne une nouvelle dynamique à l'industrie du comics dans son ensemble (avec le 'Daredevil' du même auteur, 'Watchmen' ou encore 'Swamp Thing' de Moore). Qu'on apprécie ou pas le style particulier de Miller, il y aura un avant et un après TDKR.

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Premier travail d'Alan Moore sur le titre Batman au cours d'une histoire un peu loufoque impliquant Gueule d'Argile.

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Compile le run de Mike W. Barr sur Detective Comics (concomitant au travail de Max Allan Collins sur Batman). Dans la chronologie, s'inscrit sur la période charnière post-Crisis.

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Compile une partie des numéros individuels publiés après le reboot 'Crisis on Infinite Earths', ce qui correspond au début du run de Max Allan Collins sur le titre Batman. Cet album contient également deux numéros en flashback qui retracent les origines de Jason Todd.

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Le grand reset de la série, complément indispensable du 'Dark Knight Returns', du même duo d'auteurs qui vient d'achever 'Daredevil: Born Again'. Un bon point de départ pour démarrer la lecture de Batman.

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Un Batman très "Spawnien" qui sort un peu du canon officiel. A lire néanmoins pour le récit sombre et voir un Batman débutant se promener en permanence avec un Colt .45 en bandoulière.

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Même album que le précédent, édition française.

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Vous pensiez que Talia al-Ghul tombant enceinte de Batman suffirait à faire de ce graphic novel un must-have ? Ajoutez-y un Ra's al-Ghul plus vrai que nature, Gorbatchev menaçant les Etats-Unis d'une guerre entre superpuissances, une violence complètement débridée, le dessin sublime de Jerry Bingham et vous obtenez un des tous meilleurs albums des années 80.

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Premières apparitions du Ventriloque et de Scarface dans une affaire assez sordide où la pègre inonde les rues d'une drogue qui détruit les jeunes. A noter que la couverture du premier numéro est signée Mike Mignola.

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Une des deux collaborations de Moore sur le titre Batman (l'autre épisode, 'Mortal Clay', est beaucoup plus anecdotique). En 1973 Dennis O'Neil faisait évoluer le Joker d'un gentil bouffon assez inoffensif à un véritable tueur psychopathe, qui allait s'imposer comme la némésis de Batman. Alan Moore explore cette voie et nous donne le personnage que l'on connaît aujourd'hui. Celui qui descendra de sang-froid Barbara Gordon et quelques mois plus tard assassinera Robin (Jason Todd) à coups de barre de fer. Certains préféreront des arcs narratifs du Joker plus récents comme 'The Man Who Laughs', le 'Joker' d'Azzarello, 'Death of the Family' ou 'White Knight', mais c'est bien avec l'œuvre d'Alan Moore que le mythe prend forme.

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Lorsque DC propose un numéro de téléphone pour laisser à ses lecteurs le choix de faire vivre ou mourir Jason Todd, cela donne une des séries les plus audacieuses des années 80.

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Dans la lignée de 'TDKR', un Batman qui dérouille méchamment et subit une chute vertigineuse dans les égouts de Gotham, aux prises avec une sorte de gourou millénariste. Cet album fait pleinement entrer Batman dans la période sombre du comics. Il s'agit de l'arc narratif le plus réussi de Jim Starlin, avec un formidable dessin de Bernie Wrightson ('Swamp Thing') sur un terrain qu'il maîtrise à la perfection.

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Même album que le précédent, édition française.

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Même album que le précédent, nouvelle édition.

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Série courte en trois épisodes qui aboutit au 600e numéro du magazine Detective Comics. Un très bon narratif qui expose particulièrement Bruce Wayne, mis en difficulté comme rarement. Par le scénariste du Batman de Tim Burton.