Les meilleurs films coréens selon thetchaff

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Un sacré choc. Assez similaire à Old Boy dans sa vision acide de la vengeance, hyper violent, il contient des scènes mémorables et sa réalisation est dingue. Si vous avez le cœur bien accroché, il est immanquable.

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Film de fou furieux qui allie la beauté à l'horreur. Quand un homme trouve sa raison retranchée dans ses dernières limites. Très impressionnant, la réalisation est magnifique et les musiques sont inoubliables.

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Drôle, flippant, déroutant. Je me suis fait balader durant 2h36 sans comprendre ce qui me tombait dessus, j'ai passé tout le film à être désarçonné. C'était complètement fou et stimulant, le film va d'audace en audace. La fin m'a beaucoup déçu, mais c'était pour mieux me forcer à la remettre en question. Je n'avais jamais eu l'impression d'être autant actif dans un film, peut-être mon meilleur souvenir en salle de cinéma.

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Bouleversant. Quand un inadapté social rencontre une handicapée, la société s'énerve pour refouler sa honte. La tendresse confrontée à l'hypocrisie.
Oasis prend aux tripes et nous met le nez dans notre merde, pour une histoire d'amour d'une grande justesse. Je n'ai pas vu de meilleure histoire traitant de handicap, moteur ou social (gare au synopsis qui se permet de spoiler).

Vu au ciné après une interview de l'actrice Moon So-Ri, qui s'est pleinement investie dans ce rôle très difficile d'une handicapée.

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On se croit dans un film de monstre, mais ce ne sont pas les mêmes codes. Je suis resté cloué au siège, bien que les effets spéciaux soient laids. Gros coup de cœur.

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J'ai été assez désarçonné par le film, je me demandais un peu où il voulait en venir. C'est finalement une simple itération du mythe vampirique très crue et glauque, associé à la symbolique religieuse apportée par le prêtre. C'est très sexuel, une passion amoureuse dévorante assez captivante. Le film laisse parfois perplexe, donnant l'impression de céder à la gratuité, mais il livre quelques scènes très prenantes. J'ai particulièrement apprécié la fin.

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J'ai été un peu déçu la première fois, mais il s'est bonifié au fil de mes visionnages. Cette peinture sociale fonctionne très bien et ces poursuites sont haletantes.

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Quand l'humour d'une enquête policière menée par-dessus la jambe laisse place à un profond sentiment de désespoir. La fin et l'épilogue sont poignants.

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Séoul n'a jamais paru aussi labyrinthique. Une course contre la montre brillamment exécutée.

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Je ne suis pas très original : je suis client de l'humour de Bong Joon-Ho, c'est même le seul réalisateur coréen qui arrive à m'amuser sur ce plan là. J'ai beaucoup apprécié son jeu de dupes, ses moments de tension marrante et sa critique sociale bien vue. Emballez ça dans un beau huis-clos et vous me comblez. Ce n'est pas son meilleur mais je suis malgré tout heureux de son succès populaire en France.

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Un très bon divertissement, assez inventif dans l'utilisation de son espace. Il n'offre pas de personnalité inoubliable mais il est prenant de bout en bout et propose de très bonnes séquences.

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Je surnote un peu : les effets visuels sont très numériques (ces tentacules, c'est compliqué...), le scénario semble accumuler beaucoup d'idioties temporelles et la structure qui alterne 2 époques pourrait peser sur certains. Mais je ne peux pas faire la fine bouche devant ce buffet à volonté qui mélange aussi bien le film de sabre en costume, le film de magiciens et les combats de robots et vaisseaux spatiaux en un ensemble aussi délicieusement grotesque que bien amené grâce aux voyages dans le temps. Le film est d'une générosité rare et montre clairement qu'il est le plus gros budget de la Corée, il balance en plein milieu ce qui aurait constitué le climax de n'importe quel film de super-héros et assume son mélange des genres avec un iconoclasme qui prête à rire. J'ai vu des avis qui n'aiment pas du tout les blagues du film, mais moi qui suis rarement réceptif à l'humour coréen en dehors des Bong Joon-Ho j'ai franchement adhéré.

Le scénario se montre assez confus, d'autant que ce n'est qu'une 1ère partie, ce que le titre français n'indique pas du tout, et que plein de questions restent encore sans réponse, d'où l'idée que les incohérences que j'évoque plus haut n'en sont peut-être pas même si j'en doute. Quelques moments sont trop attendus. Néanmoins sa narration arrive tout de même à intriguer ce qu'il faut et ses anachronismes surgissent toujours de manière pétaradantes pour marquer le spectateur. Il y a un certain soin accordé à tout, l'action n'est toujours des plus claire et se montre encore une fois très très numérique mais fonctionne fort bien. Il y a une séquence à l'ambiance horrifique qui m'a bien plus aussi dans son aspect davantage glaçant que sensationnaliste, et même si on peu trouver les 2h20 un peu longues j'ai senti une véritable envie de nous offrir tout le cinéma qu'aime son auteur. Je surnote donc, mais c'est un petit plaisir de voir au ciné (pour seulement 2 séances, 1 mois après sa sortie DVD) une production coréenne de ce genre qui embrasse autant les nombreux genres qu'il veut livrer à son public, avec une vraie envie de nous en donner pour notre argent.

Par contre le cliffhanger fait mal quand on n'a pas été averti que ce n'est qu'une moitié de film, alors que plein de moments exigent une explication parce que ça ressemble à du bullshit temporel. La suite est sortie en Corée et devrait arriver chez nous en France, reste à voir si elle aura elle aussi les honneurs des salles de ciné en plus du DVD (et d'une affiche moins naze)

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La fin me laisse un goût un peu amer dans la bouche, mais c'est possible que je l'interprète mal.
Pour le reste c'est bien balèze. Cela fait tellement longtemps que le film existait en Corée que j'avais un peu oublié ce qui m'avait donné envie de le voir, je m'en suis souvenu en le matant : Kim Jee-Woon.

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Quand le mythe de la maison hantée ne sert que de support à un drame familial et que ça fonctionne quand même, on se dit que le réalisateur a réussit son coup. C'est quoi le plus malsain, quand le fantôme se manifeste ou quand la belle-mère et les filles sont rassemblées ?

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Très beau, très élégant et très sensuel. La tension sexuelle fonctionne impeccablement et les personnages dégagent quelque chose de fort. Mais il y a une grosse baisse de rythme à mi-parcours, quelques moments que je trouve un peu malvenus. J'ai également l'impression de ne pas avoir été aussi touché qu'il le faudrait pour plusieurs passages, mais c'est peut-être dû à un sentiment d'étirement au milieu. C'est tout de même un très bon film.

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Un pastiche rigolo. Ça ne va pas au-delà de ça, mais c'est déjà assez réjouissant.

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Le scénario est neuneu, mais c'est une claque esthétique. Mon cœur a pas mal balancé pour celui-là, mais j'ai fini par oublier le côté prétexte de l'intrigue. Car c'est tout de même assez efficace. Et beau.

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Il y a un peu de The Chaser dans ce film où une sourde-muette se fait traquer par un tueur au cours d'une longue nuit, et venant de moi c'est un compliment. La réalisation ne suit pas toujours mais le reste est bien énervé comme les thrillers coréens nous y ont habitué. La surdité de l'héroïne est une très bonne idée, à la fois pour apporter des moments de tension où elle n'entend pas les dangers qui la menacent que pour parler de la difficulté de se faire entendre. J'aime bien la conclusion et ce qu'elle raconte, à la fois logique et ironique. Je regrette juste que le film ait tendance à un peu trop enchaîner les course-poursuites, ainsi que quelques passages où le hasard fait trop bien les choses pour les personnages. Mais sinon c'est une bonne pioche qui fait un bon usage de l'ironie dramatique.

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Alors là... ça part dans tous les sens, le scénario est complètement improbable, c'est parfois très lourd et il y a de gros craquages. Mais si on n'essaie pas de le prendre trop au sérieux, c'est très énergique et plutôt prenant.

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Il y a du très bon : le bateau est un excellent décor, les relations tendues entre les personnages fonctionnent, le côté irréel du brouillard est sympa et il y a une vraie électricité dans l'air. Mais ce craquage vers la fin m'a agacé.

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Un bon drame social. C'est bien réalisé et bien mené, sans faire plus d'étincelles que ça.

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Il devient difficile pour moi d'être aussi satisfait par les thrillers coréens d'aujourd'hui que par ceux par lesquels j'ai commencé. C'est bien réalisé, il y a des passages cools et ça m'aurait vraiment plu à une époque, mais la claque de ce cinéma là est déjà passée pour moi et ce que j'ai eu là n'a pas du tout la même force. Il y a un certain classicisme qui fait que je ne peux m'empêcher de dire que je préférais nettement The Chaser et J'ai Rencontré Le Diable, autant pour leur message de fond assez similaire que pour leurs scènes d'action (on a quand même une bonne scène en voiture qui vient faire la nique à celle de The Murderer). Mais je préfère nettement ce classicisme là à celui de certains Marvel, au moins on a une superbe photographie et des moments bien hargneux. Et pis les thrillers coréens sortent moins souvent dans nos salles, autant en profiter quand on peut. Simplement je devrais encore attendre avant de retrouver l'intensité de mes premières découvertes dans ce registre là.

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Souvent assez fun et classe, mais l'intégration de l'humour est loin de toujours marcher avec moi et on sent parfois trop l'inspiration de Reservoir Dogs. Cela reste un bon visionnage.

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Très bien fichu. Il se montre spectaculaire quand il le faut, il a une manière frappante de représenter l'enfermement du personnage dans un environnement poussiéreux et instable et il sait gérer les ruptures de ton. Ce film aurait récolté plus s'il n'était pas aussi long dans sa dernière partie.

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Un film que j'ai bien aimé, mais qui ne m'a pas autant ému qu'il aurait dû. Je ne saurais dire pourquoi.

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Le début m'a laissé de marbre, je ne voyais qu'un exercice de style certes maîtrisé, mais qui ne m'intéressait pas. Pourtant les 20 dernières minutes ont présenté plus clairement les intentions du réalisateur et ont apporté quelque chose qui m'a plu, une ambiance étrange à la fois inconfortable et douce. Et un plan ironique qui m'a fait un certain choc.

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Un film d'action assez efficace mais peu passionnant hors de ses scènes d'action. A Bittersweet Life était déjà passé par là, même si la couverture des assassins est une allégorie rigolote.

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On passe beaucoup de temps à nous parler des terribles conditions de vie d'une coréenne, puis on slashe à tout va. Ouais. Bon.

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Je l'ai sans doute vu trop tard, sa violence est moins tétanisante qu'elle n'a pu l'être pour ceux qui l'ont découvert à sa sortie. Après il y a bien la peinture sociale, mais c'est pour une exploitation de la vengeance qui ne me surprenait plus à l'époque où je l'ai vu.

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C'est bien réalisé, mais pas marquant. J'aime la manière dont le doute s'installe et les personnages sont bons. Mais en terme de propos sur le choc culturel entre deux classes sociales, c'est pas spécialement nouveau. La manière de le dire est peut-être plus recherchée que d'habitude, tout en malaise sourd. Mais j'en suis sorti sur ma faim. Je préfère nettement Oasis, bien plus ravageur.